samedi 28 mai 2011

Maman, je veux faire de l'équitation

Voilà la phrase que Grande me dit encore et encore depuis hier en fin d'après-midi. Je crois que cela vous donne une bonne idée de comment s'est déroulé la journée.



Dans le 30 minutes d'autobus entre Trois-Rivières et St-Georges de Champlain, Mme Diane et Mme Nathalie, les enseignantes de maternelle, ont séparé les enfants en 7 groupes. Élysanne était dans le groupe 5. Sur la photo à gauche, Grande est la 3e à partir de la droite. Une fois, cette partie du travail de fait, les enfants sont devenus un peu beaucoup excités. Alors, histoire de faire passer le temps, Maman s'est dévouée à occuper l'esprit du groupe de petits amis qui étaient près de Grande et moi. L'idée m'est venue alors que Grande réclamait des chansons à Maman (qui chante très mal). Je me suis rendue compte que beaucoup de petits amis nous regardaient et semblaient avoir envie de se joindre à nous, mais être trop gênés pour ;e demander. Alors, j'ai chanté des chansons de camps de jour et nous avons jouer aux devinettes. 

Maman pensait bien qu'elle accompagnerait le petit groupe de Grande d'atelier en atelier, mais il en fut décidé autrement. Maman a été attitrée à l'atelier d'équitation : mon travail, diriger une petite pouliche et aider les monitrices pour l'initiation à l'équitation. C'est donc un peu le coeur brisé que grande s'est dirigé vers son premier atelier et que Maman est partie avec un groupe de 6 petits garçons pour aller au manège intérieur.


Axel, la pouliche dont j'avais la charge
Les enfants circulaient à tour de rôle aux ateliers. Il y avait aussi un atelier de voltige, un atelier de lasso, un atelier sur l'alimentation, un atelier sur les soins à prodiguer aux chevaux et un atelier de scrapbooking (il pleuvait alors, ils ne pouvaient pas jouer dehors comme prévu.)

Avant le dîner, il y a eu 3 groupes de petits amis qui sont venus monter un poney, Maman avait laissé l'appareil photo dans le sac à dos alors elle a pris les photos dans l'après-midi seulement.

Maman a aussi appris. Elle a appris que les poneys, ce sont de grands enfants et que ça peut être très jaloux. Axel entre autre n'aimait pas beaucoup Grispoil, un magnifique poney blanc et ivoire, je devais le maintenir en place en me positionnant entre Axel et lui. Il me gratifiait de caresses avec son museau et Axel se renfrognait en plaquant ses oreilles sur sa tête. J'ai trouvé cela très drôle. Plus je parlais à Grispoil, plus elle était baboune.



Élizabeth, Grande et Daphnée : apparament le trio de poulettes inséparables.

Maman a aussi appris que parfois la peur peut être incontrôlable. Il y a eu une petite fille qui avait vraiment peur. J'ai fait tout mon possible pour l'aider avec son enseignante. Elle avait tellement peur qu'elle tremblait comme une feuille. Cette fois-là, Axel s'est reposée car aucun enfant ne souhaitait la monter. La petite fille n'a pas monté, elle avait vraiment beaucoup trop peur. Elle craignait de tomber. Ses amis riaient et avaient beaucoup de plaisir, mais elle les regardait en tremblant de l'autre côté de la clôture.

Sur l'heure du dîner, un petit ami qui était à la table devant moi, se frottait les yeux avec entrain. Je lui ai demandé de me regarder. Hum! Ça sonne comme une réaction allergique. J'ai demandé à une enseignante de regarder sa situation de plus près. Garçon a eu droit à une compresse d'eau froide. Un peu plus tard, environ 15 minutes après. Il continuait de se frotter pas mal les yeux. J'ai parlé de nouveau à l'enseignante. Elle l'a amené prendre l'air pour discuter de la situation. Après cet événement, le petit garçon me serrait la jambe très fort chaque fois que je passais à proximité. Ça m'a rappellé pourquoi j'aimais tant garder des enfants. Il leur faut tellement peu de chose pour leur faire plaisir et avoir leur reconnaissance. J'ai fait bien peu de chose pour lui, j'ai seulement levé les yeux au bon moment. Mais c'était suffisant pour lui.

Sur un cheval de bois, Élizabeth et Élysanne se pratiquent à lancer le lasso pour attraper un cône orange.

Après le dîner, Grande et son groupe m'ont suivi pour se rendre à l'atelier d'équitation. Bien entendu, Élysanne a choisi de monter Axel. Elle était fière d'être avec sa maman et se sentait privilégiée que sa mère l'accompagne. Elle écoutait bien les consignes de maman. Sur la photo de gauche, on la voit qui attendait pour aller faire du trot.

Pour l'après-midi, elle a fait les trois ateliers du manège intérieur ainsi que l'atelier de l'écurie et est repartie pour l'autobus en même temps que maman.

Encore une fois, pour le retour, le petit groupe qui était situé à proximité m'a demandé cette fois-ci de les divertir. J'ai été obligée de chanter et de les faire jouer. Mme Diane me trouvait en forme. Ha! Ha! Ha! Ainsi s'est terminé mon petit voyage. je peux vous dire que cette-nuit-là, je ne me suis pas battue pour dormir.

Je vous laisse sur des images de Grande sur Axel qui vont au trot. Remarquez le sourire de Grande lorsqu'elle revient se stationner.

vendredi 27 mai 2011

Impasse

Jamais auparavant, cela m'était arrivé : prendre un livre dans ma bibliothèque avec la crainte d'être déçue, je voulais à tout prix aimé le livre, me délecter de tous les mots qui y figurent. La crainte était telle que j'ai lu plusieurs livres avant de finalement décider qu'il était temps que je m'y attaque. C'est donc dans cet état d'esprit que j'ai pris Impasse dans mes mains et que j'ai entamé la première page.

Résumé

Sylvie Gaydos nous raconte l'histoire de Sarah et de son parrain Philippe. Tous deux très liés, ils s'entraîdent mutuellement à atteindre leur destin. Le chemin qu'ils se sont choisis ne sont pas simples et l'adversité sera féroce.

Je ne vous en dit pas plus.

Critique

Difficile d'être aussi concise pour la critique. Je suis habituée à un autre type de littérature. On ne traite pas un drame psychologique comme un polar ou un epic fantasy. Il y a belle lurette que je n'avais pas lu un roman de ce genre. Pas que je n'aime pas, mais je côtoie des gens qui vivent des situations les plus improbables au quotidien et j'ai besoin de m'évader dans un univers où je n'ai aucun repère. Voilà pourquoi je ne lis presque plus de textes de ce genre.

Un peu comme le disait Pierre H. Charron, le roman semble construit en deux parties. Une partie sert à mettre en place les personnages, leurs histoires et l'intrigue. La seconde est le déploiement de l'intrigue qui nous mène à l'épilogue.
Étant une fille d'action, je suis vraiment embarquée dans l'histoire à partir de l'élément déclencheur de tout ce drame psychologique. Pendant de longues minutes, je me devais de mettre le livre de côté à force de pleurer. Il ne faut tout de même pas abimer le livre. Quand même. Alors côté sensibilité et émotions, le travail est vraiment bien réussit.

On sent pertinemment que Sylvie sait de quoi elle parle. Le côté psychologique des personnages est extrêmement bien développé. Wow! Cet aspect me laisse sans mot.

L'histoire : elle est très bien menée. J'ai apprécié le parallèle entre le parrain et la fieulle. Quoi que je me sentais parfois gênée à imaginer que Philippe pouvait observer des moments intimes entre Sarah et Alex.

À certains moment, le fait que l'auteure nomme Alexander par son nom de famille me dérangeait. Je ne sais pas pourquoi, mais cela me semblait inapproprié. Je crois que ça enlevait un brin a la sensibilité du moment. Mais ce n'est pas un point majeur, il est noyé par tout le reste.

Je trouve que ce livre est excellent et je ne peux qu'espérer un deuxième opus.

Vraiment Sylvie, je suis heureuse d'avoir lu ton livre. Merci de nous avoir partagé ton univers.

jeudi 26 mai 2011

Encore du vac

Le voisin de la gardienne
Tout le mal que je me suis donné n'a servi qu'à apaiser ma colère. Au moment de publier le dernier billet, même l'entraînement n'avait pas permis de faire passer mon GRRR intérieur. La lettre, elle est restée sur l'aquarium avant que je parte.
Au retour, au moment de prendre les enfants, j'ai fait bien attention à ne pas me stationner devant chez-lui, au cas où il aurait eu envi de mordre. Je suis aller chercher les 2 derniers et l'éducatrice m'a dit qu'il avait téléphoner pour s'excuser. Il ne pensait apparemment qu'à ma sécurité et celle des enfants et que c'était dangereux de reculer de son entrée. Il lui a réitéré qu'il souhaitait que je ne me retourne pas en utilisant sa cours. Finalement, il aurait ajouté qu'il m'aurait fait signe de sa vitrine de salon. C'est que je ne fais pas la Laïze Bronssard, je regardais derrière pour reculer.

L'informatique...
Quand ça marche, ça marche bien, mais quand ça bogue... *soupir* ça bogue. J'ai réinitialisé mon netbook qui donnait des signes inquiétants. La réinitialisation à fait des miracles, tous les signes inquiétants ne sont plus là!
Cependant, je n'arrive plus à reconfigurer mon réseau sans fil correctement. Le Net marche, c'est au moins ça. Mais, je ne vois plus la tour et la tour ne voit plus le netbook. J'ai essayé de mettre des IP, ça marche pas. J'ai installé tous les protocoles, ça marche pas plus. Le pire dans tout ça, c'est que c'est toujours moi qui installe les réseaux et je finis toujours par trouver ce qui cloche. 4 jours que je passe mes soirées à taponner là-dessus. Rien ne fonctionne.  Il faut que ça fonctionne. Je dois avoir accès à la tour en haut qui tous les MP3, toutes les photos,...
C'est que je veux user de mon nouveau joujou!!! J'ai eu un iPod Touch 8G pour ma fête! Wouhou!
Un autre truc qui bogue. J'essaie aussi depuis 4 jours de faire la mise à jour et chaque fois, vers le milieu du téléchargement, ça plante! Bordel une mise à jour de 850 M. Pas drôle.

Merci!
À tous ceux et celles qui sont passé sur mon mur FB pour me souhaiter un joyeux anniversaire. Très apprécié vraiment. Ce fût une journée formidable.

mercredi 25 mai 2011

Ça me pue au nez...

Il est rare que je vais utiliser mon blogue pour me plaindre. Je suis une grande fille et je suis capable de m'arranger toute seule, mais ce n'est pas le cas pour tout le monde.

Il y a environ 1h30, l'éducatrice de mes enfants et amie m'appelle pour me dire qu'un ses voisins est venu se plaindre. Bon, il y en a beaucoup qui se plaignent pour pas grand chose. Elle me demande de ne plus me retourner en utilisant son entrée.

«-- Ben voyons donc! C'est quoi cette histoire-là!
-- Il a décrit ta voiture et il m'a dit qu'il t'avait déjà avisé 3 fois ne pas te retourner dans son entrée et que tu lui avais ris au nez.
-- Tu sais bien, de 1 que ce n'est pas moi de rire des gens comme ça, et de 2 que je passe droit devant son entrée, je retourne chez-moi par la rue Quirion! Je sais même pas de quoi il à l'air ce monsieur. Le viaduc est fermé en direction ouest, je dois passer par Jean XXIII pour retourner à la maison. Depuis une semaine, je prend une entrée au hasard. Pis, de toute façon, j'ai juste mis le nez de la voiture dans son entrée, un véhicule prenait toute la place.
-- C'est un fouteux de trouble, il m'a menacé de faire des plaintes et de faire fermer ma garderie. SVP, tournes-toi ailleurs. J'ai pas envi d'avoir de problèmes.
-- J'irai pu, mais c'est pas vrai qu'il va répéter tout ça sur moi...»
Les oreilles m'ont frisée en chou-fleur avec tout ce qui lui a dit sur moi... quelqu'un à qui je n'ai JAMAIS parlé en 6 ans de circulation dans cette rue. Cela fait 2 fois qu'on bloque le dit viaduc en direction ouest, une fois à l'automne et jusqu'à la fin juin.  

Le dit voisin fait présentement du trouble à tous ceux qui ont un bout de terrain qui touche au sien. Il y a une histoire de clôture qu'ils souhaitent voir blanche parce qu'elle donne sur leur cours, mais ils ne veulent pas en défrayer une partie des frais, de plus elle se trouve entièrement sur la cours de l'autre voisin alors, je ne vois pas pourquoi ils auraient leur mot à dire. Quant à moi, elle ne serait pas blanche à coup sur.

Bref, vous voyez le genre. J'ai donc épluché les 78 pages du Règlement municipal et nulle part on dit qu'il est illégal de se tourner dans une entrée, et nulle part on ne parle de son adresse.

Je l'ai appellé pour qu'il me rafraîchisse la mémoire à savoir quand il m'avait demandé de ne pas me tourner dans son stationnement. Je passe droit d'habitude. Mais, le monsieur quand j'ai voulu courtoisement lui demander des précisions s'est mis à m'invectiver et m'a coupé la ligne au nez! What the fuck! On est civilisé ou on ne l'est pas, et on peut classer ce comportement dans la seconde catégorie. J'ai imprimé le chapitre 3 du règlement (4 pages par pages) et je lui ai écrit une lettre polie et ironique, mais claire. On ne tient pas des propos diffamatoires sur les gens sans conséquence. Je ne me tournerai plus en utilisant son stationnement, mais lui s'engage à ne plus dire d'idioties à mon sujet et à ne plus chercher d'embrouilles à mon éducatrice. Pis son usure d'asphalte, ... tu parles d'une excuse. Si je commençais à charger la grenotte de mon entrée à tous ceux qui viennent s'y virer : j'aurais une entrée en pavé uni depuis le temps.


lundi 23 mai 2011

De tous les classiques de Disney...

mon film favori est sans aucun doute Mulan. C'est la 34e animation classique et le 54e long métrage d'animation. Mais pourquoi est-ce que je vous parle de ce film ce matin? Parce que mes enfants me l'ont réclamé hier et que je me suis rappellée au combien j'aimais ce film. Sans même réfléchir, j'ai pratiquement entonné toutes les paroles des chansons et même une bonne partie des dialogues.

Contrairement aux contes classiques précédents de Disney ayant une héroïne, celui-ci met une jeune fille non issue de la royauté : ce n'est pas une princesse. L'histoire se déroule en Chine, un pays mythique très ancien qui m'a toujours plu. Et de plus, ce conte peut plaire autant à un garçon qu'à une fille puisqu'il a beaucoup de combat, ce qui n'est pas dans les habitudes de Disney.

Habituellement, Disney s'inspire d'histoire, de légende ou de conte libre de droit. Alors de quoi est tiré l'histoire de Mulan? Et bien, de la légende de Hua Mulan. Hua Mulan était une fille d'officier supérieur. Elle avait été initiée aux arts de la guerre. Pour éviter à son père âgé et à son frère trop jeune d'aller à la guerre, elle s'est faite passée pour un homme et a fait la guerre. Elle est devenue un général en 12 ans au combat. À la fin de la guerre, elle n'a réclamé qu'un cheval rapide pour retourner chez-elle. L'empereur a appris plus tard qu'elle était une femme et l'a réclamé comme concubine. Mais elle refusa à plusieurs reprises pour finir par se suicider. L'empereur lui offrit des obsèques dignes de son rang.

Bien que l'action se déroule dans le nord de la Chine où le dialecte dominant est le mandarin, Disney a choisi la prononciation cantonaise du nom de famille de l'héroïne : Fa. La prononciation exacte devrait être Hua.
Tiré de Wikipédia

Encore une fois, Disney a adapté l'histoire afin d'en faire quelque chose qui vend bien. On a fait en sorte que Mulan soit découverte et aussi que la fin ne soit pas aussi horrible. On a même fait une suite à ce film, qui est naturellement moins bonne et dont les dessins sont moins beaux que dans le premier film. Disney ne s'est même pas donné la peine de le sortir au grand écran, mais plutôt directement en DVD.


 
Les caractères chinois gravés sur ces pierres sont les noms des animateurs ayant travaillé sur cette scène, écrits en chinois ancien.  Tiré du site Wikipedia. 
Synopsis


Le film commence alors que Mulan (Céline Furi) doit aller voir la marieuse. Mais, sa rencontre ne se déroule pas tout à fait comme prévue. La marieuse dit à Mulan qu'elle ne trouvera jamais un époux. Elle revient chez elle en larmes. Son père Fa-Zhou (Jean Brousseau) tente tant bien que mal de la consoler avec une analogie faisant référence aux fleurs de cerisiers. Mais à ce moment-là, les tambours des messagers impériaux résonnent devant la maison. Le conseiller Chi-Fu (Sébastien Dhavernas) vient aviser qu'un homme de chaque famille est conscrit pour la guerre contre les Huns.
À ce moment, Mulan tente de se rebeller contre cette décision impériale, mais son père l'avise qu'elle le déshonneur. Mulan va se cacher dans le temple et se questionne sur qui elle est et ce qu'elle doit accomplir. Alors elle décide de prendre la place de son père.

Alors elle réveille les esprits des ancêtres qui décident d'envoyer un des gardiens de la famille Fa. C'est à ce moment que Mushu (Anthony Kavanagh) se réveille. On lui demande de réveiller le Grand Dragon de pierre, mais celui-ci tombe en morceaux. Le criquet chanceux lui propose alors de veiller sur Mulan.

Nous assistons à l'entraînement de conscrit par Shang (Daniel Picard) jusqu'à ce qu'ils deviennent des soldats accomplis. Puis, ils partent au combat.
Lors du combat dans les montagnes, Mulan cause une avanlanche qui enterre les Huns. Elle se fait blesser mais va tout de même sauver Shang. Il demande un médecin et c'est là qu'elle est découverte. Shang lui épargne la vie et on la laisse derrière.

Mulan découvre que les Huns ne sont pas mort et décide d'aller aviser Shang. Personne ne l'écoute, elle est redevenue une femme. Elle choisit tout de même de faire son possible pour sauver la Chine.

Critique

Avant tout, les images sont splendides. Le mélange des personnages typiques à la Disney et de l'art chinois est tout simplement délicieux. Les paysages, les dragons, les costumes... tout est beau.

Comme à l'habitude, ils y a plusieurs gags qui font sourire les adultes et rire les enfants. Par exemple, dans la scène où Mulan va se baigner. Elle dit qu'elle ne veut plus jamais, de toute, sa vie, voir un homme nu et toute une bande de soldats passent au pas de course nus pour aller se baigner.

Plusieurs scènes sont émouvantes. Et ce, tout au long du films. J'en ai régulièrement la chair de poule. Mes favorites sont la scène où Mulan décide de prendre la place de son père et la scène où elle est honorée par l'empereur et où tous ceux qui sont présents se prosternent devant elle.

Les chansons dans ce film sont toutes bonnes. D'ailleurs, le film a été nominé à plusieurs reprises.
Nomination à l'Oscar de la meilleure musique de film 1998 (Matthew Wilder, David Zippel et Jerry Goldsmith)


2 nominations aux Golden Globes : « Meilleure bande originale » (Jerry Goldsmith) et « Meilleure chanson originale » (Matthew Wilder et David Zippel pour Reflection)

Nomination au Grammy Award de la « Meilleure chanson originale » (Matthew Wilder et David Zippel pour True To Your Heart) - Chanson du générique
Tiré de Wikipedia

Je vous laisse sur la chanson que j'aime le plus qui est interprétée par Martine Chevrier.




dimanche 22 mai 2011

Y'a de ces matins...

Il faut croire que les hormones sont effervescentes. J'apprend que plusieurs connaissances sont enceintes. Et je me prend parfois d'envi pour un autre petit paquet d'amour.

Quand Minou et moi avons commencé à planifier notre famille, nous songions à 4 enfants. Mais la dernière grossesse difficile (chutes de pression, enflure, fatigue extrême) et son résultat nous ont obligés à revoir nos plans. Bébé a un sal caractère et demande beaucoup d'énergie. Avec elle, c'est le festival de la danse du bacon et de la petite crise pour tout et pour rien. Nous avons donc pris les grands moyens, Minou est passé au bistouri. On ne pouvait pas prendre le risque d'avoir un 4e enfant non-planifié.

Dans les moments où tout va bien, on finit par oublier le tempérament bouillant et aventureux de Bébé et je me reprend à rêver à un ventre rond, à bercer un tout-petit être qui repose sur moi, à me mettre le nez dans son cou et respirer l'amour d'un bébé tout neuf.

Mais, il y aussi des matins comme celui-ci où Grande nous réveille en criant de sa chambre : «Maman, Rachel a enlevé sa couche et a fait pipi dans mon lit!» Shit!

Là, on oublie vite les rêves irréalistes et on revient sur terre. Deux lits et un plancher à laver à 7h15 un dimanche matin... ça remet les yeux en face des trous.

En passant, avez-vous des trucs autre que 3 tours de ruban gommé sur la couche pour empêcher un petit monstre d'enlever sa couche la nuit?