mardi 7 juin 2011

Des fleurs

Partout, partout! Hi! Hi! Hi! Ça sent l'été!

Chez-moi, l'été commence toujours avec mon lilas sur le côté de la maison. Je sais pas ce qu'il a celui-là, mais je dois, le tailler 2 fois par année car il a mal été positionné par les proprios précédents, il est trop près de la maison.



Puis, je dois tailler les vignes qui bougeonnent. Elles sont déjà en fleurs et laisse supposer une production de raisins bleus phénoménale encore une fois cette année.


On fait les arrangements de boîtes à fleurs. Ça j'aime ça! J'adore. Le shopping des fleurs avec ma grande, puis l'assemblage dans les boites ensemble. Nous avons beaucoup de plaisir. Je suis toujours inquiète car j'ai déjà eu des plants qui n'ont pas aimé la transplantation. Mais cette année, pas d'inquiétude, depuis 2 semaines, elles sont splendides.


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On met aussi des fleurs sur toile. Je n'ai jamais offert de toile pour un public autre que mes amis ou la famille. Cette fois, j'ai planté des échinacées roses sur toile pour la Fondation de l'école Marguerite-Bougeois. Ils feront tirer la toile pendant l'Expo-Arts. Cette fondation offre des bourses aux élèves méritants, elle offre du support aux enfants défavorisés de l'école et investit dans le développement de l'école. Entre autre, elle a permis aux enfants de l'école qui ont subit les dommages d'un incendie criminel à leur domicile d'avoir du nouveau matériel scolaire, acheté une remise et des articles pour occuper les enfants le midi et lors des récré ainsi que de permettre de retaper les jeux peints dans la cours d'école. Bref, une bonne action pour mon karma.


dimanche 5 juin 2011

Des retrouvailles après 10 ans...

On s'était dit rendez-vous dans 10 ans, même jour, même heure, même poste...

Voilà déjà 10 ans que je suis diplômée de l'Université Laval en Communication publique profil Presse Écrite. Ce qui est particulier de ce programme, c'est que les étudiants gère un journal-école : l'Exemplaire. Le première session, on va se choisir des assignations et on écrit seulement des nouvelles. La deuxième session, on devient chef de pupitre, chef de nouvelle, rédacteur en chef, secrétaire... Bref, on passe deux sessions intensives ensemble.

Hier, l'équipe qui a géré le volume IX de L'Exemplaire s'était donné rendez-vous au Pub de l'Université Laval. J'avais continué à parler à certains via les réseaux sociaux, mais il y en a plusieurs que je n'avais pratiquement pas vu depuis. À l'époque, je combinais un job dans un resto les fins de semaines, un job de communicatrice dans une compagnie qui créait des sites Web et je faisais de la pige pour des «pinottes» dans des magazines peu connus du grand public. J'étais beaucoup moins présente que les autres au local du journal et dans les partys. Je regrette un peu d'avoir négligé ce côté-là, malgré moi. C'est un groupe génial.

Épatant de voir comment les gens changent.  Plusieurs d'entre-eux font encore du journalisme : certains au Soleil, d'autres pour La Tribune. J'ai appris que certains sont à Val-d'Or, à Ottawa, à Victoriaville et d'autres à Montréal, mais le petit noyau est encore à Québec.

Pour l'occassion, nous avions même l'un de nos «français» qui est revenu au Québec. À l'Université Laval, il y a un programme d'échange avec l'Université de Lille et dans notre petit groupe nous avions des collègues français.

La majeur partie de mes anciens collègues n'ont qu'un seul enfant, encore bébé. Je sors du lot avec mes 3 mousses. Quand on arrivait, l'un de mes camarade de classe nous accueillait avec la question : «As-tu des enfants?» Et il enchaînait avec :« As-tu des photos?» Naturellement, nous sortions notre cellulaire. LOL. Il aurait préféré que nous ayons des photos en papier photo. Tellement passé date!


En apparté : On se rappelait combien nous étions à l'avant-garde à l'époque avec les appareils photos numériques dans lesquelles on insérait des disquettes 3½". Ils étaient tellement lourds!

Nous avons eu plusieurs discussions intéressantes, et beaucoup de fous rires. Je suis bien heureuse d'avoir eu la chance de revoir ces connaissances et j'espère que ça ne prendra pas 10 ans encore pour qu'on se revoit.