Voilà déjà 10 ans que je suis diplômée de l'Université Laval en Communication publique profil Presse Écrite. Ce qui est particulier de ce programme, c'est que les étudiants gère un journal-école : l'Exemplaire. Le première session, on va se choisir des assignations et on écrit seulement des nouvelles. La deuxième session, on devient chef de pupitre, chef de nouvelle, rédacteur en chef, secrétaire... Bref, on passe deux sessions intensives ensemble.
Hier, l'équipe qui a géré le volume IX de L'Exemplaire s'était donné rendez-vous au Pub de l'Université Laval. J'avais continué à parler à certains via les réseaux sociaux, mais il y en a plusieurs que je n'avais pratiquement pas vu depuis. À l'époque, je combinais un job dans un resto les fins de semaines, un job de communicatrice dans une compagnie qui créait des sites Web et je faisais de la pige pour des «pinottes» dans des magazines peu connus du grand public. J'étais beaucoup moins présente que les autres au local du journal et dans les partys. Je regrette un peu d'avoir négligé ce côté-là, malgré moi. C'est un groupe génial.
Épatant de voir comment les gens changent. Plusieurs d'entre-eux font encore du journalisme : certains au Soleil, d'autres pour La Tribune. J'ai appris que certains sont à Val-d'Or, à Ottawa, à Victoriaville et d'autres à Montréal, mais le petit noyau est encore à Québec.
Pour l'occassion, nous avions même l'un de nos «français» qui est revenu au Québec. À l'Université Laval, il y a un programme d'échange avec l'Université de Lille et dans notre petit groupe nous avions des collègues français.
La majeur partie de mes anciens collègues n'ont qu'un seul enfant, encore bébé. Je sors du lot avec mes 3 mousses. Quand on arrivait, l'un de mes camarade de classe nous accueillait avec la question : «As-tu des enfants?» Et il enchaînait avec :« As-tu des photos?» Naturellement, nous sortions notre cellulaire. LOL. Il aurait préféré que nous ayons des photos en papier photo. Tellement passé date!
En apparté : On se rappelait combien nous étions à l'avant-garde à l'époque avec les appareils photos numériques dans lesquelles on insérait des disquettes 3½". Ils étaient tellement lourds!
Nous avons eu plusieurs discussions intéressantes, et beaucoup de fous rires. Je suis bien heureuse d'avoir eu la chance de revoir ces connaissances et j'espère que ça ne prendra pas 10 ans encore pour qu'on se revoit.
Jamais vu ce genre d'appareil photo.
RépondreSupprimerIl est vrai que ça doit être intéressant de se revoir, si bien sûr, c'était une belle période, ce qui a l'air d'avoir été le cas.
Et ton ex-collègue de Val-d'Or il s'appelle comment ?? Peut-être que je le ou la connais ;o)
RépondreSupprimerIsabelle S. dit :
RépondreSupprimer@ ClaudeL : Ces appareils ne sont pas restés longtemps sur le marché. Peu de temps après, les cartes Flash et SD sont arrivées sur le marché permettant d'avoir des appareils beaucoup moins lourds. Veut, veut pas, une disquette 3,5" ça prend de la place et ça ne contient pas tant de photos que ça.
@ Lucille : François-Olivier Dénommé