J'ai des scènes qui m'ont fait pleurer à chaudes larmes. Dans mes écritures de nouvelles, je n'avais jamais fait mourir personne, et je l'ai fait dans les débuts de mon manuscrit. Ce n'était qu'un personnage très secondaire qui ne passe que quelques pages dans le livre, mais reste que ça m'a bouleversé. J'étais dans un Morgane que je l'ai écrite (iPod dans les oreilles -- Oui Julie, je sais). J'avais des larmes qui pointaient et je passais mon temps à renifler. Le monsieur à côté de moi m'a trouvé bien drôle. J'avais littéralement la boule dans la gorge.
J'ai aussi découvert les scènes de bataille où j'avais le souffle court et je tentais de voir ce qui se passait. Mon imagination a littéralement construit une scène holographique autour de moi. J'essayais de tout décrire, mais c'est vraiment pas facile. Je sais que ce passage nécessitera beaucoup de travail. Dans une bataille en mouvement, il faut tout voir et tout savoir. Décrire les sentiments du personnage, la course folle de la monture, les craintes, les bruits, les poursuites. Je ne savais pas dans quoi en ajoutant cette scène dans mon plan, mais quelle scène!
Je crois que le plus difficile c'est de faire passer l'évolution psychologique de façon cohérente. Vraiment difficile. Il faudra que je travaille beaucoup les réactions de mes personnages principaux pour faire passer pourquoi ils agissent de telle ou de telle façon.
J'ai eu beaucoup de recherche à faire pour les repères, les personnages et les noms. J'ai beaucoup aimé cette partie du travail.
La révision et l'ajout des détails est entâmé, c'est la partie la plus grosse je crois. J'ai bien hâte de voir comment je vais m'en sortir.
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