Il était écrit dans les étoiles que nous aurions une soirée en amoureux. Congé aujourd'hui, une amie, la maman de la gardienne que nous avions réservée, m'appelle à 7h00 pour m'offrir de garder les enfants chez-elle pour que nous puissions nous reposer ce matin. Wow! Une offre à ne pas refuser.
Alors, c'est le coeur léger que nous avons pris la direction de la métropole.
Le spectacle
MCR et la Contamination Tour comptait 2 premières parties. Ce point m'a un peu déçue car, plus il y a de premières parties, moins on a du groupe vedette.
La toute première partie est un groupe nommé The Architects qui a joué environ 30 minutes. Même si le son n'était vraiment pas ajusté pour eux, ils ont offert une bonne prestation. Je ne connaissais bien entendu aucune des pièces, mais il semble qu'une partie de l'auditoire les connaissait car ils entonnaient les pièces avec eux. J'ai bien apprécié et je me promet dans les prochains jours de fouiner un peu plus sur le Net à leur sujet.

Ceux que moi j'attendais, ont pris la scène d'assaut à 9h45. Je frétillais de plaisir. Ils ont commencé avec la pièce Na na na. J'étais certaine que ça commerais ainsi. Ils ont fait pas mal toutes les pièces auxquelles je m'attendais sauf une seule, Sing. Ils ont fait une bonne partie de l'album Danger Days (Planetary, The Only Hope is You, Summertime, Bullet Proof Heart) ainsi que de The Black Parade (Teenager, The Black Parade, Cancer, I Don't Love You, House of Wolves, Mama). Ils ont bien entendu fait aussi les classiques tels que Helena.
Gerard Way, le chanteur, était vraiment en forme. Il était tel que je l'avais vu dans plusieurs extrait de show live sur Youtube sur le MCR Channel.
Les «à côté» n'étaient pas extraordinaire, pas de décors époustoufflants tels que dans les shows de Green Day ou Muse, quelque chose de bien simple, un rideau bleu miroitant à l'arrière et des lumières placées en V. Par contre, les effets d'éclairages étaient efficaces pour créer des effets dramatiques aux moments voulus.
Le seul «hic», c'est que le son était mal dosé, vraiment. Les instruments étaient trop forts et les micros des guitaristes et du pianiste pas assez, alors les moments où les «back vocals» sont importants n'étaient pas aussi agréables qu'ils auraient dû l'être.
Le summum de la prestation est à mon sens quand Gerard a chanté Cancer au début du rappel. J'en ai eu la chair de poule. Il faut le faire car on était tellement coïncés que j'étais collante comme si j'avais fait une heure de spinning.
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