mercredi 28 décembre 2011

Kitty's Big Trouble

J'ai une certaine affection pour l'animatrice de radio Kitty Norville. J'aime son audace et son don naturel pour se mettre dans le trouble. Cette infinitologie commence à être volumineuse - 9 tomes. Chaque fois, je me dis que c'est le dernier, mais je me fais prendre au jeu. Carrie Vaughn me surprend chaque fois, elle réussit à faire du neuf.


Résumé
Cette fois, Kiity se lance sur les traces des vedettes du passé qui pourrait être des créatures surnaturelles comme elle. Elle tente de questionner son ami Rick, le chef des vampires de Denver, mais il refuse de lui livrer ses secrets, Il la lance tout de même sur la piste de Wyatt  Earp.
Elle décide donc d'en parler dans son émission de radio. On lui suggère que le Général William T. Sherman, héros de la Guerre de Sécession, soit un loup-garou. Il n'en fallait pas plus pour qu'elle se lance dans une enquête qui allait la mener dans le chinatown de San Francisco avec son mari, Ben, et son ami, Cormac.
Cette quête de la vérité confrontera les croyances les plus profondes de Kitty.

Critique
Encore une fois, Carrie aura su me garder en haleine jusqu'à la fin. Elle nous lance ainsi dans une enquête des plus loufoques qui ne nous mène pas tout à fait là où on peut penser qu'elle nous portera.

L'auteure parvient aussi à faire évoluer ses personnages avec un logique qu'on ne peut que suivre. Il n'est pas évident de croire, après ce livre, que notre héroïne était au bas du clan, et qu'elle est devenue ce qu'elle est maintenant.

Carrie continue de marier les genres : urban fantasy et polar pour en faire un roman qui se lit comme un charme.

L'auteur a signé pour 4 nouveaux livres, le 10e est attendu au printemps 2012 et s'intitulera Kitty Steals the Show.

lundi 26 décembre 2011

La chanson du lundi -24

Une chanson du Jour de l'An... un bon vieux rigondon traditionnel.

Ah!... Et bonne fête ma Doudou. 3 ans aujourd'hui =)

vendredi 23 décembre 2011

Joyeux Noël

Insolite Univers vous offre tous ses meilleurs voeux pour Noël. Je vais prendre quelques jours pour prendre une pause bien méritée, regarder Ciné-Cadeau avec les enfants, avancer mon manuscrit et vous concocter quelques billets.

J'ai parlé d'une pause moi? Quelle idée!

jeudi 22 décembre 2011

Clockwork Prince

Il y a de ces auteurs qui vous collent à la peau. J'ai l'habitude de lire beaucoup de roman en anglais et l'une de mes auteures fétiches est Cassandra Clare. Le 6 décembre sortait son dernier roman Clockwork Prince le second tome de sa série Infernal Device.

Une couverture superbe illustrant Jem
Étant une adepte du Kindle, j'avais précommandé le roman il y a bien 8 mois. Alors le 6 décembre au matin, j'ai synchronisé mon joujou et je me suis lancée dans la lecture du roman. (Ça adonne bien, c'est la journée que j'ai fini de lire Naïla de Brume.)

Pour vous remettre en contexte, vous pouvez aller lire la critique que j'ai fait du premier roman de cette série, ici.

Résumé
On reprend le fil de l'action là on l'avait laissé, Tessa prise dans l'étau du triangle amoureux qu'elle met en place un peu malgré elle. Elle est attiré par Will, il occupe toute ses pensées et ses rêves. Mais elle développe un amour grandissant pour Jem. Elle se retrouve prise entre les deux qui lui font la cour quand l'autre n'est pas là. Après tout, n'est-il pas normal que les deux parabataïs soit attiré par la même fille.

L'avenir de l'Institut est en danger. Les Lightwood souhaitent que Charlotte en perde le contrôle. L'intrigue principale du roman est en fait l'enquête imposé par le Consul Wayland aux directeurs de l'Institut. Will, Jem et Tessa devront venir en aide à Charlotte et Henry.

L'autre intrigue secondaire est que nous découvront les motifs ayant menés aux retournements de situation dans le tome 1. Pourquoi Will laisse-t-il percer son amour envers Tessa un instant et l'invective l'instant d'ensuite?



Critique
Ce roman est très bien écrit. Du romance fantasy historique : ce roman se déroule en 1863. Une époque fort intéressante qui apporte un cachet intéressant. Par moment, on pourrait se croire dans un Sherlock Holmes si ce n'était des éléments de fantasy.
Clare apporte des éclairages fort intéressants sur des éléments qui se retrouvent dans la série de la Mortal Cup.
Le roman se déroule à une vitesse folle. On ne peut que suivre le train. On a déjà hâte de savoir ce qui arrivera à notre trio ensuite. Malheureusement, il faudra attendre septembre 2013, pour avoir le fin mot de l'histoire avec la sortie de Clockwork Princess.


mercredi 21 décembre 2011

J'étais naïve moi aussi

Pour relever la défi de Pierre H. Charron, voici une liste des croyances que j'avais quand j'étais petite.
J'ai eu de la misère à trouver une photo numérisée de moi quand j'étais petite, celle-ci date de 1988. (La mode était aux toupets crêpés)
À 10 ans
  • J'aimais croire que des miracles se produisaient toujours à Noël. En 1980, il n'y avait pas de neige quand nous sommes partis pour la messe de minuit. Quand nous sommes revenus, la neige s'est mise à tomber. Je me revois encore sortir de la voiture  et regarder les flocons tomber paresseusement du ciel. Digne des films d'Hollywood. Voilà d'où venait ma croyance, mais plus tard, je me suis rendue compte que non, ce n'étais pas le cas.
  • J'ai pensé longtemps, tout comme Louis-José Houde, que l'Étranger était une ville. J'écoutais les Expos à la radio avec mes grands-parents quand j'allais au chalet. J'ai fini par poser la question :"C'est où l'Étranger?" Quand on m'a répondu: "Ça dépend...", j'ai compris que j'étais dans le champs.
  • J'ai très longtemps eu peur des hurlements de loups. Quand j'allais au chalet avec mes grands-parents, ma chambre donnait sur l'avant du chalet et mon lit était collé sur une grande vitrine. J'étendais parfaitement les loups hurler à la lune. J'avais peur de regarder dehors et voir un loup le nez dans la fenêtre. Je croyais qu'ils pouvaient traverser le lac en nageant et grimper sur la galerie. J'avais vraiment très peur, jusqu'à ce que ma grand-mère comprenne ma peur et m'explique que les loups étaient loin dans la montagne et ne venaient pas de notre côté du lac. 
  • Je croyais que lorsque je serais grande, les voitures seraient comme dans Back to the Future. Faut croire que non finalement.
  • Je pensais que je n'aurais que deux enfants, que j'habiterais Baie-Comeau et que je serais Informaticienne. J'ai 3 enfants, j'habite Trois-Rivières et je fais du service à la clientèle dans un centre d'appels. Wow! Aurais-je pu être plus dans le champs.

Voilà, c'est ce qui me vient à l'esprit. J'avais tellement d'imagination alors c'est dur de me rappeler tout ce que j'ai pu élaborer comme théorie déjantées...
 

mardi 20 décembre 2011

Publicité - 10

Celle-là, je viens de la découvrir, il s'agit d'une pub d'une chaîne télé européenne. Il semble qu'elles fasse fureur de l'autre côté de l'océan.

lundi 19 décembre 2011

La chanson du lundi - 23

Cette pièce est sur une compilations punk pour Noël que je pense sérieusement à me procurer. J'aime beaucoup cette pièce.

vendredi 16 décembre 2011

Ce n'est pas drôle d'être petit

Depuis quelques jours, ce n'est pas drôle à la maison.

Habituellement, je peux suivre maman partout. Elle me laisse goûter l'excellente nourriture qu'elle cuisine et jouer avec elle à la balle, mon jeu favori. Elle prend soin de moi et me berce de longues heures. Nous dormons souvent l'après-midi sous le soleil de la verrière. C'est ce que j'aime le plus.

Mais, là. Il semble qu'il n'en soit plus question. Elle cuisine des petits plats tout le jour durant, Et je n'ai pas le droit d'y goûter. Pourtant, ils embaument la maison d'odeurs alléchantes. Aujourd'hui, ça sent bon la dinde rôtie, la sauce aux canneberges. Ce matin, elle a cuisiné des petits fours aux brisures de chocolat et des beignets aux cerises. J'ai tenté par tous les moyens d'y goûté. Je suis grimpé sur le comptoir pendant que maman était au petit coin et je me suis fait chassé avec une tape sur l'arrière-train.

Pendant que la dinde cuisait au four, maman est revenue du garage avec une immense boîte. Il y avait un sapin dedans. Elle l'a assemblé et l'a décoré. J'ai bien voulu me coucher tranquillement sur le canapé, mais n'a pas cessé de déplacer les meubles pour que le sapin immense soit en évidence devant la verrière.
J'ai voulu l'aidé, comme il n'y avait pas moyen de dormir en paix. Quand j'ai sorti une guilande de la boîte de décoration, elle m'a grondé. Maman est si gentille, ce n'est pas dans ses habitudes. Alors j'ai tenté de lui amener autre chose, une boule. Mais encore là, elle m'a dit :"Ne touche pas à ça! Va jouer ailleurs."

J'étais triste. Très triste. Dehors, il commençait à neiger. Comme ça l'avait drôle cette neige. Des enfants, plus loin sur la rue fabriquait un bonhomme de neige. Ils riaient avec coeur. Moi, mon coeur était gros. Maman m'ignorait et ne voulait pas que je fasse quoi que ce soit. J'ai surveillé la porte. Quand maman l'a ouverte pour aller reporter la boîte du sapin dans le garage, je me suis enfui pendant qu'elle regardait ailleurs.

C'est beau la neige. Ça tombe sur notre petit nez et ça fond, mais c'est moins drôle pour les pieds. C'est froid. Très froid.

J'avais couru vite, très vite, je souhaitais rire de nouveau. J'ai pris la direction des enfants qui riaient, ceux que j'ai vu dans la fenêtre. Ils n'étaient plus là, seul restait le bonhomme. Je me suis couché à ses pieds, j'ai fermé les yeux et grelottant de froid, je me suis endormi.

J'ignore combien de temps je suis resté là, mais je ne sentais plus mes membres. Un adulte est arrivé près de moi et m'a vu, tout enneigé. Il m'a serré contre lui et m'a dit :"Viens, je crois que je sais d'où tu viens." Il m'a réchauffé et en quelques minutes, il m'a ramené à la maison.

Maman pleurait à chaudes larmes. Coquin, j'espère que tu auras eu ta leçon. J'étais morte de trouille! Elle m'a serré dans ses bras, je croyais qu'elle allait me briser en deux. Elle m'a déposé parterre dans la cuisine. Un bol de dinde m'y attendait ainsi qu'un bol de lait. J'étais redevenu le centre de l'attention et le chaton le plus heureux du monde.


jeudi 15 décembre 2011

Naïla de Brume


Je sais.... je prend le train pas mal tard, ça fait un moment que c'est publié. Des romans, il en pleut.

Il a fallu que ma principale lectrice test, qui n'a pas d'enfant à elle, mais seulement des belles-filles adolescentes, m'avise qu'il y avait des similitudes avec ce roman. Il était déjà dans mes tablettes, je n'avais seulement pas eu le temps de m'y attaquer. Il semblait que c'était maintenant le temps.


Je me suis installée pour commencer une lecture que je croyais que je lirais au rythme des dernières semaines soit environ un mois pour un livre, mais non... une semaine et demie.

Il y a effectivement quelques similitudes, mais pas aussi énormes que je croyais. Surtout dans des éléments de fantasy, j'ai apporté quelques amendements mineurs à mon texte qui est toujours au stade de la révision. (Bordel, ça avance pas.) 

Critique
Je ne me lancerai pas dans un résumé, je crois que la plupart des lecteurs ici connaissent l'histoire.

Je crois que pour un premier roman, c'est très bien écrit. Le mode de narration à la première personne est bien mené et supporte bien l'histoire.

Naïla est une héroïne attachante. Elle a un passé douloureux, un avenir mouvementé et un présent qui passe à la vitesse de la lumière.

Élisabeth prend bien son temps pour nous faire découvrir Naïla et les autres personnages principaux, de bien poser les assises de l'histoire. C'est un peu ce qui m'a légèrement déçu d'ailleurs. Les longs préludes ont l'habitude de me laisser sur mon appétit. À la grosseur de la brique et aux commentaires élogieux entendus dans mon entourage, j'aurais voulu plus d'action, plus vite. Étant donné la longueur de la série, c'était probablement un mal nécessaire. On ne peut pas tout avoir dans la vie.

Le monde créé par Élisabeth est très intéressant et laisse tout un potentiel à l'histoire, les méchants sont détestables. On a envahi qu'elle leur fasse la peau.

Alexis est un second personnage principal qui a beaucoup de potentiel qui me fait penser à Will Hérondale ou Jace de Cassandra Clare ou encore James Stark de la série House of Night de P.C. & Kristin Cast. Beau héros ténébreux qui n'a pas envie de se laisser embarquer dans un bateau, mais qui se sent inéxorablement attiré par Naïla.

J'ai bien hâte de lire la suite, mais pas avant d'avoir fait ma révision.

mercredi 14 décembre 2011

Top 5 francophone 2011

Même si j'ai lu beaucoup plus de roman francophone cette année, il me fût très ardu d'établir un top 5. D'abord, parce que plusieurs des auteurs qui y sont classés viennent faire un tour ici. Mais aussi parce que plusieurs des auteurs que je souhaitais lire et desquels je me suis procurer les livres ne sont pas encore lus. Je pense entre autre à Frédéric Durand, à Ariane Gélinas et plusieurs autres encore. Pour tous ceux que je n'énumère pas ici, ne soyez pas vexés...

5. Impasse de Sylvie Gaydos

Jamais auparavant, cela m'était arrivé : prendre un livre dans ma bibliothèque avec la crainte d'être déçue, je voulais à tout prix aimé le livre, me délecter de tous les mots qui y figurent. La crainte était telle que j'ai lu plusieurs livres avant de finalement décider qu'il était temps que je m'y attaque. C'est donc dans cet état d'esprit que j'ai pris Impasse dans mes mains et que j'ai entamé la première page.

Pour la critique, ici.




4. Le Chaperon rouge de Sarah Blakley-Cartwright

J'ai hésité à le mettre ici car il s'agit d'un traduidu comme dit Joël Champetier, mais, je l'a lu en français.
J'ai toujours aimé les loups-garous et le conte du petit chaperon rouge. Le mixte des deux ne pouvait que donner quelque chose de bien. Alors quand j'ai vu le livre au Costco, je l'ai tiré dans mon panier sans même réfléchir.

 Pour la critique, ici.



  
3. L'incident de Pierre H. Charron

Quel moment magique! Le rythme est rapide, mais pas trop. Pierre H. Charron tisse adroitement sa toile, amenant le lecteur là où il le souhaite. Pas de détail inutile, tout ce qui est écrit sert le récit. Vraiment bravo.
Tous les personnages sont bien définis, tout est cohérent. J'arrivais parfaitement à imaginer les personnages dans ma tête tout en faisant la lecture de cette novella. Comme première publication, c'est un chef d'oeuvre.

Pour la critique, ici.


2. Fille de Lune - Naïla de Brume de Élisabeth Tremblay

Ça fait si peu de temps que je l'ai lu que je n'ai pas eu le temps encore d'en pondre une critique.
J'ai vraiment adoré. Le début du roman traîne un peu avant de plonger dans l'action, mais j'imagine que tout le démarchage psychologique était nécessaire pour la suite de l'aventure.

Critique à venir.





1. Hanaken - La ligné su sabre de Geneviève Blouin

Voici comment j'avais commencé ma critique :
 
"Wow! Wow! et Re-Wow!

J'avais hâte de le lire ce bouquin et je me suis contenté : je l'ai lu bien, bien rapidement."


Je le pense encore. C'est un livre qui doit être lu.Tout est si bien écrit. L'aventure est habilement menée, les scènes bien décrites et aucun détail n'est inutile. Vraiment, mon livre de l'année en français.

Pour la critique, ici.

mardi 13 décembre 2011

Publicité - 9

Elles sont maintenant bien connues et elles font un tabac chaque fois : je parle des publicités de Budweiser avec les percherons. En voici une d'hiver qui n'est pas nécessairement Noël, mais je la trouvais tout de même d'occasion.

lundi 12 décembre 2011

La chanson du lundi - 22

Non, je ne vous ferai pas le coup des Chipmunks deux fois. Mais je ne suis toujours pas dans le traditionnel.

mercredi 7 décembre 2011

Top 5 anglophone de l'année 2011

Je lis autant en anglais qu'en français. Je travaille dans un milieu bilingue et j'ai vraiment besoin de me garder "up-to-date". Alors, j'aime faire travailler mon ciboulot en lisant en anglais. Je dois admettre que cette année, j'ai moins lu qu'à l'habitude, mais ça reste plus que la moyenne des ours.

5. Blood of the Demon - Diana Rowland

Quand je suis dans une bonne série, je deviens asociale et addict. Je ne suis pas capable de m'arrêter, je dois voir le point final du dernier tome existant. C'est au point que je reste à mon bureau pour les pauses afin d'avoir plus de temps pour garder le nez dans mon livre. Je vous ai parlé dernièrement de Mark of the Demon, je suis aussi passée au travers de la suite, Blood of the Demon.

Pour la critique, c'est ici.




4.  Kitty's Big Trouble - Carrie Vaughn

Je pense que vous devez commencer à me connaître, je suis du type série (quand c'est bien écrit). Carrie a un univers que j'aime beaucoup et son personnage de Kitty, l'animatrice de radio loup-garou, est attachante. Il s'agit d'une autre infinitologie que j'aime beaucoup.
Carrie en a publié un autre cette année que je n'ai pas encore lu qui m'attend patiemment dans mon Kindle.

 Désolée, je n'ai pas encore écrit la critique. À venir.




 3. Dead Reckoning - Charlaine Harris

Je ne pensais jamais que Harris réussirait à m'accrocher de nouveau. Après tout, on en est rendu au 11e tome. Je crois, pour reprendre un terme lu sur le blogue de Pierre H. Charron, qu'on peut parler d'une excellente infinitologie accrocheuse.
Après toutes les aventures qu'elle a vécues, je crois que Sookie aurait mérité d'avoir la «Sainte Paix». Non, ce n'est pas possible, pas quand on a un huitième de sang de fée et qu'on est télépathe, pas quand on côtoie tous les jours un patron shapeshifter, pas qu'on a un mari vampire selon les règles qui régissent les vampires et qui est surtout l'un des plus anciens et des plus puissants dans les environs, pas quand on habite avec 2 fées, pas quand sa meilleure amie est une sorcière et surtout pas quand une renarde-garou, qui nous croit responsable de tous ses malheurs, s'échappe de prison. 
 
 Pour la critique, c'est ici.

2. Mark of the Demon - Diana Rowland

Il y a un moment, ce livre, proposé par Amazon.ca selon mes habitudes d'achats, a attiré mon attention. L'hybride entre le polar et le urban fantasy me semblait intéressant. Surtout que plutôt que des vampires ou des loup-garous, l'élément fantasy est la présence de démons en ce monde. J'ai donc appuyer sur Add to cart.

Pour la critique, c'est ici.




1. City of Fallen Angels - Cassandra Clare

Elle est une véritable magicienne des mots. Je n'hésiterais pas un instant à la nommer la Reine de la Fantasy Urbaine. Son univers est magique, ses personnages sont très crédibles et ses atmosphères palpables. Pas moyens de s'en défaire, on veut savoir comment ça va finir. Je parle ici de Cassandra Clare et du quatrième tome de la série Mortal Instruments.

Pour la critique, c'est ici.

mardi 6 décembre 2011

Publicité - 8

Une autre pub très mignonne que j'avais bien appréciée la première fois que je l'ai visionné. Elle est bien punchée. J'aime.

lundi 5 décembre 2011

La chanson du lundi - 21

J'aime beaucoup les chansons de Noël, mais j'aime aussi des versions avec un petit extra. Je vous averti, vous n'aurez pas de Céline ici, ni de Britney, pas de Bruno Pelletier et encore moins Star Academie!

mercredi 30 novembre 2011

Théories débridées - 1

Ceux et celles qui me connaissent depuis longtemps savent que j'ai une imagination assez fertile. Peut-être trop, même. J'ai l'habitude de faire des liens sur tout et sur rien. En lisant les lignes qui suivent, vous serez à même de le constater.

Ce matin, j'ai eu un peu beaucoup de misère à me lever. Je me suis même rendormie, ce qui ne m'arrive pratiquement jamais.  6h25, un jour de semaine quand j'ai 30 minutes de route à faire pour me rendre au travail... c'est tard!

En arrivant au travail, en discutant avec des collègues, je découvre que je n'étais pas la seule à qui c'était arrivé. Curieux! Plein de gens, dans des villes différentes à qui la même mésaventure arrive la même journée. C'était suffisant pour que mon imagination se mette à l'oeuvre.

Oui! On peut y aller avec les théories traditionnelles :

1- Ça dort bien quand il pleut.
2- Le manque de lumière.
3- On est dans le rush à la job et les clients tirent plus de jus que d'habitude.

Mais... c'est plate comme explication! Il doit y avoir plus excitant comme raison.

4- La pluie fait resurgir nos instincts primitifs. La pluie ne permet pas de vaquer à nos occupations de chasseur-cueilleur et donc il est préférable d'économiser nos énergies et de rester bien au chaud coller les uns sur les autres pour dormir.

Bah!! C'est n'importe quoi ça. Comment ça j'ai pensé à ça?

5- Une usine de la région doit fabriquer des somnifères et il y a eu des émanations qui se sont échappés et contaminés toute la région.

6- Comme il fait noir plus tôt le soir et plus tôt le jour, le marchand de sable à refait des réserves de poudre de rêve. Le problème c'est que sa poche est trop pleine et quand il venu pour déposer la dose des adultes de la région, sa poche a débordé et une dose plus élevée qu'à l'habitude nous a été distribuée. Cela nous a occasionné des problèmes au moment du réveil.

Ça j'aime ça... oui, l'idée n'est pas bête.

Chapeau pointu!! Je la garde cette idée. Ça pourrait servir.

Quelles sont vos théories?

mardi 29 novembre 2011

Publicité - 7

Bon, je vous ai dégoté quelque chose pour se mettre dans le mood de Noël et cucu tout plein. Noël arrive, alors quoi de mieux qu'une pub de la compagnie qui a donné l'image même au Père Noël moderne. Point de vue publicitaire, cette pub est pratiquement irréprochable.



lundi 28 novembre 2011

Pause de musique et tradition des Fêtes

Le week-end chargé a fait en sorte que j'ai manqué de temps pour vous offrir une pièce musicale ce matin.

J'avais bien aimé le défi de l'Ermite l'an passé. L'Avent commence cette semaine alors je me disais qu'il serait bien de se remettre aux contes de Noël, mais je ne limiterais pas les textes à 500 mots, j'irais plus vers 750 mots. Même si vous ne participez pas, je vais quand même tenter de vous en mettre quelques un d'ici Noël.

Dans le même ordre d'idées, les chansons du lundi seront teinté d'un air de Noël, mais j'irai avec des pièces un peu spéciales.

Alors à tous, bon début du temps des Fêtes!

dimanche 27 novembre 2011

À l'abordage!

"Comment ça à l'abordage?"

Parce que mon salon a été envahi par des pirates hier après-midi. Mon petit homme a fêté, hier, ses 5 ans. Il a eu le droit d'inviter 5 amis. À la dernière minute, nous avons eu deux amis qui ont annulé, mais c'est un moindre mal puisque mon Homme à eu des feux à éteindre à son travail alors il a eu à parler beaucoup au téléphone et plusieurs courriels à envoyer. J'ai donc été seule pas mal toute la fête pour m'occuper de 6 petits pirates.

Quand les amis sont arrivés, je les maquillais en pirate et leur offrait un bandana de pirate. Puis, ils ont peint un coffre de pirate pour ranger leur trésor trouvé plus tard dans un vraie course au trésor (qui contenait des pièces d'or et des bijoux). On a joué à des jeux de pirate et on a eu une table ronde sur les pirates.

Les amis ont eu beaucoup de plaisir... et Fiston était aux anges.

On prépare un coffre de pirate
Pirate Robin à l'oeuvre
Table ronde sur les pirates : les amis disent ce qu'ils savent et je complète.
J'ai été surprise car cette activité a eu beaucoup de succès.
Le clou de la journée, c'est quand il a ouvert sa boîte sa boîte d'équipement de gardien de but Team Canada.
Sa joie était palpable. En fait,  elle électrisait l'air.

lundi 21 novembre 2011

La chanson du lundi - 20

Faisons un spécial pour l'occasion : un duo d'une sommité du punk et des plus belles voix de Broadway.

J'ai découvert cette version il y a un an et j'en suis bien heureuse.

21 Guns featuring American Idiot Cast.

mercredi 16 novembre 2011

Écriture et émotions

Écrire est une bien drôle de passion. Elle nous oblige à passer par de bien drôle de chemin.

J'ai des scènes qui m'ont fait pleurer à chaudes larmes. Dans mes écritures de nouvelles, je n'avais jamais fait mourir personne, et je l'ai fait dans les débuts de mon manuscrit. Ce n'était qu'un personnage très secondaire qui ne passe que quelques pages dans le livre, mais reste que ça m'a bouleversé. J'étais dans un Morgane que je l'ai écrite (iPod dans les oreilles -- Oui Julie, je sais). J'avais des larmes qui pointaient et je passais mon temps à renifler. Le monsieur à côté de moi m'a trouvé bien drôle. J'avais littéralement la boule dans la gorge.

J'ai aussi découvert les scènes de bataille où j'avais le souffle court et je tentais de voir ce qui se passait. Mon imagination a littéralement construit une scène holographique autour de moi. J'essayais de tout décrire, mais c'est vraiment pas facile. Je sais que ce passage nécessitera beaucoup de travail. Dans une bataille en mouvement, il faut tout voir et tout savoir. Décrire les sentiments du personnage, la course folle de la monture, les craintes, les bruits, les poursuites. Je ne savais pas dans quoi en ajoutant cette scène dans mon plan, mais quelle scène!

Je crois que le plus difficile c'est de faire passer l'évolution psychologique de façon cohérente. Vraiment difficile. Il faudra que je travaille beaucoup les réactions de mes personnages principaux pour faire passer pourquoi ils agissent de telle ou de telle façon.

J'ai eu beaucoup de recherche à faire pour les repères, les personnages et les noms. J'ai beaucoup aimé cette partie du travail.

La révision et l'ajout des détails est entâmé, c'est la partie la plus grosse je crois. J'ai bien hâte de voir comment je vais m'en sortir.


mardi 15 novembre 2011

Un mardi pas de pub

J'aime beaucoup partager avec vous ma passion des communications publiques, mais ce lundi soir, je n'ai pas le coeur à faire des recherches pour les thématiques que je comptais exploiter.

J'ai beaucoup plus envi de vous partager mes humeurs.

La semaine passée, je discutais avec une collègue d'écrivaine, d'écriture et de blogue. Elle a découvert récemment qu'une écrivaine portait le même nom qu'elle et que les similitudes entre son homonyme et elle sont très nombreuse. Nous avons bien rigolé et elle a pris la peine de me questionner sur l'avancement de mes projets.

Je lui ai raconté que mon projet n'avançait pas comme je le souhaitais. Vraiment pas. Les deux semaines qui précédait j'avais à peine 800 mots d'écrits. Pas fameux. J'ai eu des enfants et un conjoints malade, de la visite, des commissions de dernière minute et une semaine de formation au travail. Bref, de quoi mettre la madame K.O. au lit à 20h30.

Mais, le cerveau de la madame, il ne chômait pas. J'ai fait un résumé de ce que mon cerveau hyperactif m'a pondu pour la suite du projet.

Puis, avec le week-end de 3 jours que j'ai eu, j'ai été en mesure de prendre de l'avance vendredi pour me dégager du temps dimanche après-midi. Mon Homme, très gentil, a même amené toute la marmaille patiner pour me laisser 2 petites heures à moi. Résultat : j'ai terminé mon premier jet.

Comment je suis sensée me sentir? Il me semble que je serais supposée exploser de bonheur. Non? Et bien, non. Je sais que le travail n'est pas fini et j'ai juste ramené le texte au début et commencé la réécriture. Le pire, c'est que je suis déçue de ne pas me sentir autrement. Maudit que c'est compliqué une fille.

lundi 14 novembre 2011

La chanson du lundi - 19

Je vous parlais la semaine passée de Three Days Grace... C'est un groupe que je ne me tanne pas d'écouter. Je regrette d'avoir raté leur dernier passage dans la métropole. Soyez certains que je serai là la prochaine fois.

J'aime la façon dont ils exploitent la thématique de cette pièce Animal I've become. Le vidéo est bien mais il aurait pu être plus. Il date de quand même quelques années et le groupe n'était pas ce qu'il est.


lundi 7 novembre 2011

Publicité - 6

Il y a deux éléments qui sont souvent utiliser dans la publicité et qui font souvent bon ménage : les animaux et l'humour.
Je suis certaine qu'à y penser vite, vite, vous avez plusieurs noms qui vous viennent à l'esprit. Télus, Budweiser, Bridgestone, Aflac, Ford,... Des noms, on en sortirait des dizaines et des dizaines... Mais dans toute cette série, il y a ces deux spots qui ont retenu mon attention.

Remarquez, ce n'est pas parce qu'on intègre des animaux et de l'humour dans une pub qu'elle est réussie. Il faut que ce soit bien fait. Dans la première, le punch vient à la fin. Tut au long de la pub, on entretien le doute, de quoi on va nous parler. On se pose la question jusqu'à ce qu'n nous affiche le logo de la compagnie. Cette pub est à un cheveu de passer dans beurre et de ne pas atteindre son but. Mais, on arrive à faire l'association à la deuxième visualisation ce qui fait que son objectif est atteint. (Je ne savais pas qu'il existait une version française à cette pub.)


pub x-box par Jujuki

Pour cette seconde pub, on sait tout de suite de quelle marque de commerce on nous parle. Les amateurs de football ont depuis longtemps fait le lien entre les chevaux et Budweiser. Le concept publicitaire en rendu à un autre niveau. On est rendu à surprendre le téléspectateur pour qu'on parle de la pub. On attend un punch et cette pub avait particulièrement bien atteint son objectif car au lendemain du Superbowl, tout le monde parlait du SuperFan.

 

La chanson du lundi - 18

J'adore Three Days Grace et j'adore Apolyptica. Alors vous imaginez le mixte des deux. Un retour en arrière de quelques années... I don't care avec la fabuleuse voix de Adam Gonthier.

La musique est splendide et je ne vois pas comment la voix pourrait être différente. Le vidéo est très bien réalisé et les paroles... que dire... écoutez.

mercredi 2 novembre 2011

Once Upon a Time

Mon côté fifille fait que j'ai toujours apprécié les contes de fée. Cette fois, c'est mon homme qui m'a surpris, il m'a demandé de regarder avec lui la nouvelle série de ABC, Once Upon a Time. Je n'avais pas vu de trailer je n'étais pas certaine de ce à quoi il fallait s'attendre, j'ai été charmée. Vraiment...

L'histoire
La série met contexte Blanche-Neige, Prince Charmant et la méchante marâtre. La Reine en a marre et décide d'obtenir sa vengeance sur Blanche-Neige. Le jour de son mariage, elle s'y présente malgré le gait qu'elle n'a pas été invité et leur annonce qu'elle retirera tout le bonheur de leur monde avec le black curse.
Blanche-Neige, enceinte, décide malgré le désaccord de Prince Charmant d'aller consulter Rumpeltiltskin emprisonné dans les dongeons pour connaître les présages quand à la réussite de la marâtre. Il lui dira que son enfant sera la solution pour renverser le mauvais sort.
Le couple royal organise une réunion afin de trouver un moyen de se battre contre la Reine. La fée bleue leur donnera un échappatoire qui ne leur permettra d'envoyer un seul d'entre eux dans notre monde. Il sera décidé que ce sera Blanche-Neige.
Le jour où la méchante Reine parvient à ses fins, Blanche-Neige donne naissance à Emma. Le Prince charmant sera blessé en allant placer Emma dans le portail.
Le sortilège arrive et tous sont pris dedans. Ils se retrouve dans la petite municipalité de StoryBrooke où tous les personnages de conte de fée sont pris à ne pas vieillir et ont la mémoire de leur passé effacé.

Le jour de ses 28 ans, Emma reçoit la visite de son fils qu'elle a donné en adoption. Il la ramène à StoryBrooke en lui expliquant qu'elle pourra sortir tous les personnages de conte de fée dans leur monde et briser le sortilège de la méchante Reine.

Critique
Après 2 épisodes, je suis déjà accroc. Vraiment, l'histoire est bien racontée avec beaucoup de flashback. On replace petit à petit les personnages de conte dans l'univers de StoryBrooke. En passant, il semble que cette ville ne serait pas très loin de Boston. J'ai déjà hâte de savoir comment Emma parviendra à déjouer les plans de la méchante Reine.




Si ça vous intéresse, il n'y a que deux épisodes de passés. Vous pouvez les regarder les deux épisodes ici.

mardi 1 novembre 2011

Publicité - 5

THÈME HALLOWEEN

Pour le plaisir... tout simplement. J'ai quand même choisi de bons spots.







lundi 31 octobre 2011

La chanson du lundi - 17

C'est Halloween! Alors alors vers quelque chose qui va avec l'ambiance du jour. Un peu de Iron Maiden s'imposait de lui-même...




Trick or Treats :)

mercredi 26 octobre 2011

Encore une année de passée

Mamie, voilà une autre année que tu es partie. Ce matin, je pensais à toi en voiture en me rendant au boulot et mes yeux se sont embués. (C'est pas terrible pour un matin où il m'a fallu gratter les vitres. Tu m'aurais dit que c'était dangereux que mes larmes se glacent sur place.)

Ma soeur, mamie et moi un peu avant sa rechute de cancer.

Si tu voyais comment tes arrières-petits-enfants ont grandi. Élysanne est vraiment douée pour l'école. Le problème c'est qu'elle a pas envi de se forcer. Elle fait tout à la va-vite. Tu sais, je lui sers souvent tes maximes :"Tout ce qui mérite d'être fait, mérite d'être bien fait." "Pour aller vite, il faut prendre son temps." Mais, ce n'est pas très efficace avec elle. Elle est artiste, elle ne se tanne pas de dessiner et a une passion pour les crayons : comme sa mère.

Petit homme, il me fait tellement penser à toi. Il aime rigoler et a toujours les yeux pétillants de bonheur. Il est vachement doué pour le hockey, mais il n'y met pas le coeur. J'entend déjà tout ce que Papy dirait. Il choque son père : il est bon, il a un talent naturel, mais il préfère faire le clown. Moi, j'en ris. C'est le petit homme à maman, il a un sourire craquant. Tu serais tombé immédiatement en amour avec si tu l'avais vu.

Mon bébé aussi tu aurais été en amour avec. Elle est crasse comme ça se peut pas. Elle a une binette qu'on a pas le choix d'aimer, mais elle fait suer les deux autres : entre autre sa grande soeur qu'elle se fait un plaisir de faire brailler. Tu rirais de les voir faire. Je lui fais souvent comme tu nous faisais sur l'épaule avec ton menton et elle rit pareil comme Nadine et moi. Elle est si colleuse et affectueuse.

Il a tant de chose que j'aimerais encore te partager. Tu es partie si tôt. J'essaie très fort d'être la maman que tu voudrais que je sois. Mais c'est difficile. Je t'entend me dire que : "cent fois sur le métier tu reprendras". C'est difficile parfois d'être patiente, surtout après une journée complète de clients de mauvaise humeur. C'est difficile quand je me lève 3 ou 4 fois par nuit. C'est difficile quand je suis malade et que je suis fatiguée sans bon sens... Mais j'essaie et je pense très fort à toi, j'essaie de voir comment toi tu ferais alors je revois tes gros yeux fâchés pas crédibles et ta pantouffle. Le sourire me revient. Je me fais même des grimaces comme toi dans le miroir pour me faire sourire. Ça marche, je me sens tellement nounoune quand je fais ça.

My God! Je donnerais tant pour me faire bercer encore une fois et sentir ton odeur rassurante. J'aimerais tant juste t'entendre rire, il était merveilleux ton rire. Franc et communicatif. Je te parlerais encore pendant des heures, mais je ne vois plus rien. Ça n'écrit pas bien sur l'ordinateur avec les yeux plein d'eau et le nez qui coule. Ces 5 dernière années sont passées trop vite. Tu me manques mamie, tu me manques tant.

mardi 25 octobre 2011

Publicité - 4

C'est bien connu, au Québec on aime être différent. Quand je parle de différence, c'est que pour qu'on réussisse à nous vendre des produits internationaux, ils ne faut pas tenter de nous les vendre comme les autres.

Le meilleur exemple ce que j'affirme est juste ici en dessous.







Je parle bien entendu de la guerre entre Pepsi et Coca-Cola. Ce que je vous ai sorti ici, ce sont deux des spots publicitaires qu'on nous passait à la télé en 1986. 

Pepsi a gagné beaucoup de part de marché quand ils ont compris que pour nous vendre au Québec, il fallait nous vendre leur produit avec des gens d'ici. Les publicités de Claude Meunier ont eu un succès fou. D'ailleurs, la firme Cossette Communication en est assez fier. M. Claude Cossette, qui était un de mes enseignants à l'université en parlait souvent.
D'autres grands vendeurs ont compris l'astuce et ont commencé à nous vendre autrement. Je parle entre autre de Honda, Hyundai, Tide et ...




lundi 24 octobre 2011

La chanson du lundi - 16

Allons vers quelque chose d'un peu plus hard. J'ai accroché à ce groupe très vite. J'adore la voix de David Draimen le chanteur de Disturbed et l'an passé, mon Homme m'a offert des billets pour les voir au Centre Bell avec le CD du groupe. J'ai vraiment adoré. Des rumeurs courent quant au fait que le groupe se sépare. Au moins, je les ai aurai vu.

Une de mes pièces favorites de ce groupe est la pièce The Night.


samedi 22 octobre 2011

Un blogue pour les maniaques de sports

Mon homme est probablement un des personnes qui m'est des plus opposées en ce qui concerne nos passions. Je suis une pure créatrice avec une certaine structure, il est des plus rationnelles et cérébrales que je connaisse. J'adore les mots, il préfère les chiffres. Je suis pas très sportive, il mange du sport. Nous avons quand même quelques passions communes, sinon, il ne partagerait pas ma vie depuis 11 ans.

Sa plus grande passion est sans doute aucun les pools de toutes les sortes, les paris sportifs et le Fantasy Sport. Il en mange et généralement il s'en tire très très bien. Il remporte souvent des bourses assez intéressantes. Il est une encyclopédie du sport, je crois qu'il pourrait rivaliser avec n'importe quel commentateur sportif.

Ça pris plus de temps que je le croyais, mais il a fini par se lancer dans la blogosphère, mais pas à la façon dont je l'aurais cru, mais bon... on verra bien comment ça tournera son affaire.

Alors si vous est amateur de sports... visitez le blogue de mon Homme.

jeudi 20 octobre 2011

Constat

Tout allait bien quand j'étais en congé. Mon manuscrit avançait très vite, mais je constate que je n'arrive pas à faire grand chose depuis que j'ai recommencé à travailler. Les devoirs de Grande me prennent un temps fou: de 5h50 à 6h50, on ne fait que ça. Je ne vois presque plus les deux autres, ils peuvent bien faire les clowns quand je vais les coucher.

Une fois tout le monde au dodo, je dois faire un choix. Soit je m'entraîne, soit je prépare des billets de blogue, soit j'écris. Deux fois dans le mois, j'ai des réunions pour le C.E. de l'école et pour le comité de parents où je représente l'école de Grande. Pas facile. Il faudra que je sois encore plus rigoureuse dans mes planifications.
Bref, des choix déchirants se préparent dans un avenir rapproché.

mardi 18 octobre 2011

Publicité - 3

J'ignore si cette pub a gagné des prix, mais elle a drôlement su attirer mon attention. Si vous êtes un fan de SuperBowl, vous l'avez peut-être vu en février. Au moment où elle est passé, le silence s'est fait dans mon salon. Ensuite, lors de la chute, tous mes hôtes se sont mis à rire. Son concept est génial, mais elle a un défaut, vous ne vous rappellerez peut être pas de la marque de la voiture. C'est le syndrôme de la pub-film: impressionner le public, en mettre plein la vue. Ah oui, on se rappelle de la pub, mais pas du produit. Il a fallu que je réfléchisse avant de m'en rappeler.


La première loi de la pub : vendre le produit. Le public doit se rappeler du produit. Je suis certaine qu'il y a un jingle poche qui vous est déjà resté en tête... par exemple : Every Kiss begins with Kay (si vous écouter la télé en anglais). Le pub fait sa job, on se rappelle de la bijouterie. On se surprend même à chanter le jingle en faisant la vaiselle. (Est-ce que je suis la seule à chantonner en faisant la vaiselle?) Leur pub sont extrêmement fleur bleue, mais le concept fonctionne et tout le monde se rappelle le Every Kiss begins with Kay.

lundi 17 octobre 2011

La chanson du lundi - 15

Cette chanson date de 1999. Mais elle a pris pour moi une signification profonde en 2000. Mon homme et moi sommes allés voir le groupe à l'été 2000 au Festival d'été une semaine pile après que j'aie aménagé chez-lui, à titre de coloc. Oui! Coloc, nous avons été avant de passer au stade d'amoureux. LOL

Alors cette pièce en est une du défunt groupe rock canadien The Tea Party. J'apprécie beaucoup la voix de Jeff Martin et je suis bien heureuse qu'il ait entrepris une carrière solo en 2005 après la séparation du groupe.

mardi 11 octobre 2011

Publicité - 2

Cette semaine, je compte encore partager avec vous une publicité sociale. La cause est différente, mais c'est encore un publicité primée, entre autre au festival Lions d'Or en 2010.

Les premières 30 secondes sont longues un peu, mais la façon utilisée pour transmettre le message est originale.

lundi 10 octobre 2011

La chanson du lundi -14

Un clip dont j'aime l'ironie. Tout simplement. J'aimais pas la pièce à la première écoute, mais après quelques fois...

dimanche 9 octobre 2011

Une transition qui ne me plaît pas

Je crois que je vais quand même devoir m'y faire. Ma Grande commence à moins embarquer dans mes divagations. Elle se prend pour une Grande, et se fait un plaisir de me le rappeler un peu trop souvent à mon goût.

Je suis le genre de maman qui a un imaginaire débordant. J'invente plein d'histoire pour expliquer un peu tout. J'illustre.

J'aime beaucoup la soupe aux gourganes, mais les enfants n'étaient pas certains de ce qu'ils avaient dans leur assiette. Tour de suite :"C'est pas bon". Moi, je leur explique que c'est des haricots magiques comme dans l'histoire et que si on laisse une petite craque dans la toile, les rayons de lune les feront grandir.

Quand les enfants sont trop excités avant le dodo, maman attrape des fées-dodo et elles leur donne un rêve fabuleux, à la condition qu'ils ferment leurs yeux et leurs bouches.

La Fée Clochette a même déjà téléphoné à Doudou pour l'aider dans son apprentissage de la propreté. (Vive les cellulaires! LOL)

Maman a plein d'histoires comme ça en stock, mais la magie perd de son efficacité sur ma Grande. Elle commence à parler que le Père Noël n'existe pas. J'essaie de trouver une explication pour que la magie continue d'opérer, mais je crains que ça ne fonctionne pas.

Je le sais au fond de moi, qu'en grandissant, la magie disparaît. Mais je ne suis pas prête à ce qu'elle cesse d'opérer sur mes enfants.

jeudi 6 octobre 2011

Disparition des médias traditionnels

Rien de nouveau sous le soleil... Quand j'ai terminé mon BAC, j'avais vraiment, mais vraiment envi de faire une maîtrise sur un thème s'y rapprochant, soit l'impact de l'Internet et des nouvelles technologies sur la presse traditionnelle : télé, radio, presse écrite. J'étais en avance sur mon temps, il n'y avait qu'un livre sur le sujet disponible et aucune autre étude universitaire... on parle ici de l'année 2001. Un professeur de la faculté était intéressé, mais le problème venait de mon porte-feuille.

Pourquoi je vous parle de ça? Et bien, ici, on dit que Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), suite à une analyse statistique, prévoit qu'il n'y aura plus de journal en papier en 2040 à la grandeur de la planète. 
On mentionne aussi dans cet article que la vente des livres électroniques a surpassé la vente des livres imprimés aux États-Unis. On y dit qu'au rythme où ça se passe, en 2017, aux USA, il n'y aura plus de presse papier et que déjà dans certains quartiers, il n'y a presque plus de librairies.

C'est une tendance qui ne me surprend pas. Ce n'est pas un débat neuf. Déjà en 2001, la question se posait. Il semble que les médias sociaux, les iPod Touch et les tablettes tactiles soit un catalyseur de de cette tendance. Je n'ai pas trouvé d'article dans la presse qui appuie mes dires, mais c'est un facteur qui me semble évident.
Avant le lancement en grande pompe des liseuses électroniques (Kindle, Sony et autres), les ventes des livres électroniques traînaient de la patte, mais depuis, elles ne cessent d'augmenter. Amazon soutient qu'à l'heure actuelle, il y a deux ventes de livres électroniques pour une vente de livre papier. Selon des articles parus dans la presse en février 2011, on soutient que les ventes de livres électroniques en 2010 ont triplé alors que pour les livres en papier elles ont diminué de 34% (source).

On parle ici de livre, mais lorsqu'il est question de presse, je crois que l'habitude de consulter Internet est présente déjà depuis plusieurs années. Je connais beaucoup de gens qui ont tout simplement laissé tombé leur abonnement à un journal pour prendre les nouvelles sur le Web. Tout y est si instantané. Personnellement, j'ai l'habitude depuis 3 ans de recevoir mon abonnement via Internet, plus économique et plus écologique, je peux consulter mon journal au travail, à la maison et mon conjoint fait de même. Plus besoin d'aviser mon fournisseur de ne pas me livrer mon journal lorsque je m'absente, je peux le lire là où je me trouve.
La plupart des liseuses permettent des abonnements de la sorte (mais pas pour des médias québécois), il n'y a qu'à les connecter Wi-Fi. Je le fais sur mon iPod avec Cyberpresse, pour ne citer que cet exemple. Alors pourquoi se casser la tête avec une version papier qui prend toute la table. Au Québec, je prédis que la tendence sera plus longue que pour les États-Unis. Les médias traditionnels ne sont pas prêt à faire le saut autant pour l'industrie du livre que pour la presse écrite. Il y a encore trop peu d'apps francophone de disponible. De plus, on mentionnait dans un dossier de la revue Le Libraire que les contrats d'édition, jusqu'à tou récemment, ne comprenait pas la clause des droits de publication électronique. On a donc un léger retard à rattraper.

mardi 4 octobre 2011

Publicité - 1

Je vous ai déjà mentionné que j'ai fait mes études en communication publique. Cela implique que je possède une base en publicité. J'ai beaucoup aimé ces cours, et j'ai longtemps hésité avant de choisir mon profil en presse écrite. La publicité étant un monde très intéressant et passionnant.

J'ai envi de partager avec vous mes coups de coeur en pub. Et je commence aujourd'hui. Le mardi sera donc la journée de la pub.

Le clip commercial qui suit revient souvent dans le top 10 des meilleures publicités lors de nos cours. C'est une publicité sociale australienne visant à conscientiser le grand public sur le sida. Elle date de 1987, alors soyons un peu indulgent quant à la qualité des images.



Ne vous gênez pas à partager vos commentaires, ils m'intéressent.

lundi 3 octobre 2011

La chanson du lundi - 13

Avec le mois d'octobre, j'ai toujours un peu les blues. Pas en raison de l'automne comme vous pourriez le penser, mais plutôt parce que c'est le mois où mes deux grands-mères m'ont quitté. Il y a 5 ans, j'apprenais que ma grand-mère Réjeanne avait un cancer généralisé. Entrée à l'hôpital pour une pneumonie, on attendait que ses intestins fonctionnent pour qu'elle puisse sortir... ils n'ont jamais refonctionné : le cancer les avait réduit en bouillie.

Ça adonne qu'un de mes groupes favoris, My Chemical Romance avait sortie l'album The Black Parade qui avait cette pièce : Cancer. J'en ai pleuré un coup en écoutant cette pièce. Elle met fait toujours un petit pincement au coeur, même 5 ans plus tard.

jeudi 29 septembre 2011

La reconnaissance...

J'ai lu, la semaine passée, le billet de monsieur Jean Barbe sur Canoë. Il parlait entre autre des galas télévisuels et de la reconnaissance des auteurs. Personnellement, je n'écoute pas beaucoup ces soirées. J'écoute pratiquement pas la télé en fait. Souvent, j'accroche plus sur les documentaires que sur les divertissements.

Avant d'émettre un avis, je me dis que je dois commencer par vérifier mes suspicions. Une petite recherche sur le Web s'impose.

Je tape Prix littéraire Québec. Il existe 90 prix littéraires différents au Québec seulement. Certains sont prestigieux, d'autres moins. Mais reste qu'il existe beaucoup de prix pour une petite communauté.

D'autres recherches me permettent de constater qu'il y en aussi beaucoup au niveau Canadien pour la francophonie.

Alors, on peut dire que la reconnaissance du travail d'écrivain existe. Une relecture du billet me permet de comprendre que ce n'est pas la remise de prix qui accroche, mais plutôt le fait que le glamour ne vient pas avec. Un autre débat.

Alors, on a besoin de statistiques pour comprendre un peu la raison...

1) En 2003, 61 000 titres étaient inscrits au DPP, pour 14 750 auteurs.
2) Au Québec, selon l'Institut de la Statistique du Québec, nous sommes 7 969 773 habitants.
3) 6,7% des Québécois sont anglophones.
4) 12% sont allophones.

Donc, il y a environ 19% de la population qui ne peut pas lire la littérature dite québécoise. Il y a donc 6 455 500 québécois qui constituent le public-cible. De ce nombre, il faut déduire les enfants qui ne savent pas encore lire. On dit qu'il a 450 000 enfants de 0-4 ans en 2011 (pour la population totale). Il faut déduire les adultes avec des  difficultés en lecture-écriture, on parle d'environ 1 000 000. Il faut aussi déduire tous ceux qui n'ont tout simplement pas d'intérêt pour lire.

Il reste quoi? Pas grand chose.

Le lecteur passe beaucoup de temps à lire des mots et peu à regarder des images. Pas surprenant que les auteurs ne soit pas reconnus dans la rue. Le milieu artistique glamour québécois est principalement constitué de ceux qu'on nous passe et repasse à la télé. On nous les bombardent à la télé. Rémi Girard ici, Rémi Girard là. Véronique Cloutier, ici, Véronique Cloutier, là. On les voit à la télé, mais on nous les sert aussi dans les magazines. Ils vendent à la télé, alors pourquoi pas dans la presse écrite.

Cette remarque du "on est pas reconnu dans l'autobus", elle est aussi bonne pour l'animateur de radio, l'artiste peintre, le photographe, le sculpteur et tous les autres artisans de notre belle culture.

Je ne crois pas vouloir être publiée pour être reconnue dans la rue. Si tel avait été le cas, j'aurais fait le profil presse télé à l'université et non pas le profil presse écrite. C'est ce qui me plaisait en presse écrite: l'anonymat. Il y avait aussi beaucoup du désir de jouer avec la langue française.

Et vous, qu'en pensez-vous?

mardi 27 septembre 2011

Éphémère comme une larme sur sa joue

Je m'appêtais à écrire autre chose quand j'ai vu le billet de Lucille sur la tradition des anniversaires de blogue.

Je n'avais pas grand chose de prêt sauf une micro-nouvelle que j'ai retravaillée pour vous mes amis.

Bonne lecture!

Éphémère comme une larme sur sa joue

Ce matin, comme tous les matins, elle se retourne et place son visage sur l'autre oreiller. Habituellement, elle y respire l'odeur de son bien-aimé, mais ce matin, aux lueurs de l'aube, elle n'y sent absolument rien.
Elle glisse sa main sur les draps, là où Shane dort toute la nuit. Lorsqu'il se lève, son corps laisse un creux dans le matelas où demeure des résidus de chaleur. Ce matin, il n'y a pas de creux, pas de chaleur : absolument rien.
Angie se replie sur elle-même en position foetale, ses longs cheveux ondoyants forment un éventail autour d'elle, et elle s'abandonne à sa douleur. Jamais, plus jamais elle ne reverra son Shane. Il est parti : parti pour toujours. En elle, elle ressent un froid : un froid qui lui glace tout ce qu'elle est. Elle pleure, elle pleure toute les larmes de son corps, et pourtant, son oreiller demeure sec. Ses larmes, éphémères, meurent dans son cou, sur le bord de ses lèvres, dans ses cheveux qui lui collent au visage. Son corps se secoue de spasmes qui font craquer son lit. Sa gorge émet des sons rauques malgré elle. Elle a mal de vivre.
Elle est brisée, et ne sais pas comment elle survivra à cette épreuve. La dernière image qu'elle a, avant le grand trou vide, c'est le derrière du camion qui arrive trop vite, un grand bruit de pare-brise qui éclate et le klaxon qui n'arrête pas de hurler.
Quand son sanglot se calme, elle entend des bruits dans la cuisine au rez-de-chaussée. Des sons de pas, puis un claquement de porte. Elle tremble. Qui a pu pénétrer chez-elle? Un bruit de clé dans la serrure de la porte avant. Shane? Se pourrait-il que...
Un moment d'espoir, ravive sa flamme, elle se lève comme un coup de vent, faisant virevolter les draps du lit dans tous les sens, puis elle se dirige à la fenêtre.
***
Après avoir verrouillé la porte, Shane se retourne et croit apercevoir sa Angie, lumineuse, diaphane dans la fenêtre de la chambre. Les rideaux volent malgré le fait que la fenêtre soit fermée. Assis dans sa voiture de location, il met l'embrayage en marche arrière. Il est certain de l'avoir vue, un moment éphémère comme une larme sur sa joue. Mais, il ne peut pas y croire....

lundi 26 septembre 2011

La chanson du lundi - 12

Un groupe que j'ai vu trois fois en show à l'agora à Québec dont en 2002 (avec Satriani) et 2003 (avec Queensryche). Chaque fois, la pièce que je m'apprête à vous faire écouter me lève la chair de poule.

Ce groupe, ce n'est pas n'importe quoi. Ils sont tous bacheliers en musique. Le drummer est l'un des meilleur au monde et s'est joint à Avenged Sevenfold pour remplacer le leur qui est mort d'une overdose.

L'album d'où provient la pièce est THE ALBUM de ce groupe. Si vous devez vous en procurer un seul, c'est celui-là qu'il faut choisir. C'est un opéra rock et je vous dirais qu'il est dans le top 3 de mes album que je ne me tanne pas d'écouter avec American Idiot et 21st Century Breakdown. Je parle ici de Scenes from a Memory - Metropolis Part 2.

J'ai volontairement choisi un clip live. C'est un des groupes que j'ai adoré live : ils donnent tout un show. Mike Portnoy a tellement un drum énorme que le drummer de Queensryche est venu avec lui dans son drum et ils ont joué ensemble le rappel sans jamais se nuire.

Bonne écoute!

http://www.youtube.com/v/xtnz2O4Chfw?version=3&hl=fr_FR"> name="allowFullScreen" value="true"> http://www.youtube.com/v/xtnz2O4Chfw?version=3&hl=fr_FR" type="application/x-shockwave-flash" width="475" height="352" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true">

jeudi 22 septembre 2011

Bonne fête Insolite Univers!

Voilà maintenant 1 an que je prenais la décision de migrer mon blogue vers Blogger. Les commentaires m'arrivaient par Facebook ou pour courriel pour me dire que mon blogue Windows Live ne prenait plus les commentaires.

Quelques jours plus tard, Windows Live me demandais d'adhérer à WordPress pour que mon blogue ne soit pas effacé.

Quelques statistiques :
  • Le billet le plus visité est celui sur les Mandalas avec 1390 visites,
  • Le second est la critique de Raiponce (603),
  • Et le troisième est la critique de How to train your Dragon (185).
  • J'ai atteint 9580 visites depuis un an.
  • Un total de 157 billets publiés.
  • Google.fr et Google.ca sont une très grande source de traffic sur mon blogue.

Mais le plus génial, c'est que je me suis découvert des amis virtuels fantastiques que j'aime lire.

Merci à vous de me donner l'énergie de continuer.

Avant de terminer, j'aimerais faire un petit sondage maison.

Quels sont les billets qui vous intéressent le plus?

mercredi 21 septembre 2011

Mes projets

Je mentionnais dernièrement que j'ai eu une idée géniale pour lier plusieurs projets qui étaient en cours. Je suis motivée plus que jamais. J'en suis rendue à 69 pages actuellement et 19125 mots. J'en suis à 38% de mon objectif.

Présentement, j'écris mais je ne travaille pas les descriptions. Je sors tout en bloc et lors de la révision, je m'attarderai à étoffer le tout.

Je suis assez fière de moi : je suis fidèle à mon plan. J'ai seulement ajouté quelques scènes. J'avais tendance avant à ne pas travailler avec un plan. Je me créais un plan mental et je passais mon temps à le modifier. Je suis contente d'avoir pris le temps de le mettre sur papier. Même mes fiches de personnages me servent beaucoup.

J'ai envoyé un dossier à l'UNEQ pour une demande de parrainage. Je crois que cette expérience me serait bénéfique. La limite pour le faire est ce vendredi. À l'heure actuelle, l'UNEQ a mon dossier en main. Je croise mes doigts.

Alors, je continue de vous tenir au courant. J'ai beaucoup de misère à ne pas vous parler de mon histoire. Je la trouve tellement géniale. Mais il faut que je tienne ma langue.

mardi 20 septembre 2011

Midnight Kiss

Publié chez AAM/Markosia cette BD en 5 parties est l'une des intéressantes que j'ai lu dernièrement.

Couverture du 2e comic
On voit Dorothée de Oz.
Tony Lee (writer)
Ryan Stegman (art)
Kieran Oats (colors)

Publié en 2005
Disponible, entre autre, en version électronique sur ComiXology.


Résumé (tiré du site de AAM/Markosia):
In a secret multi-verse where every fantasy character is real – Matt Sable and Nightmare De’Lacy hide a human child from two Supernatural hitmen, travelling to Oz and meeting Alligator Kings and Tin Men, while Detective Eindhorn and Jerry Cornelius investigate a dead Angel in LA. Flying monkeys never looked so good.

En fait, Matt Sable et Nightmare De'Lacy sont de la race des fée. Ils sont mercenaires qui se voient engagé pour sauver un petit garçon qui a d'autres mercenaire à ses trousses. Il découvrira les différentes facettes de notre univers. Les contes de fée existent. Mais tout ne se passe pas comme prévu.

Les graphiques sont splendides. L'intrigue est intéressante et la chute m'a beaucoup surprise. Il y a quelques images qui auraient pu être retravaillée mais d'après ce que j'ai vu sur le web, il semble que des projets plus gros aient occupé le dessinateur.

Ma note : 3 sur 5

lundi 19 septembre 2011

La chanson du lundi - 11

Je me sens mélancolique. Allons avec un vieux succès de l'album Glorious Burden. Ce CD, je l'ai écouté au point qu'il éclate en morceau. J'aime la voix du chanteur qui me rappelle celle de plusieurs chanteurs heavy metal.



Bonne écoute!

samedi 17 septembre 2011

Une belle sortie

Hier, j'ai pris une petite pause de toutes mes résolutions pour passer du temps avec mes deux derniers. Nous avons sortis nos tuques et nos foulards et nous sommes aller faire une randonnée sur le sentier d'interprétation de l'île St-Quentin.
Habituellement, nous sommes suivis sur tout le sentier par les sitelles à gorge rousse, les mésanges, les tamias rayés et écureuils de toutes variété. Je ne sais pas si c'est Irène qui en est la cause, mais nous n'avons vu que 4 écureuils et 3 ou 4 mésanges. Les enfants en ont quand même eu pour leur argent. J'en conserve de très beaux souvenirs.

On fait des exercices. Doudou était très concentrée.

Il est possible de les laisser courir sans risquer de les perdre. Allez-y les minous.

Une petite mésange qui s'est presque posée sur ma main.


Elles embarquaient dans le bol de Fiston pour manger