Ce livre, j'avais vraiment hâte de le lire. J'ai découvert la plume de Pierre par son blogue et quand j'ai su qu'il avait publié, j'ai espéré de tout coeur qu'il vienne au SLTR pour me procurer son bouquin. J'ai été servie.
Résumé du back cover
Mirable, un arrondissement près du célèbre aéroport laissé à l'abandon. Douze personnes vaquent à leur activités habituelles pendants que le temps tisse ses tentacules et ouvre la porte à des lendemains qui laisseront leurs marques. Douze personnes reliées par le destin et où la majorité se verra réunie à un même endroit : Chez Salvator, le resto populaire du village. C'est à cet endroit que se produira un événement qui viendra bouleverser leur existence. Où l'une d'entre elles connaîtra une fin affreuse.
Le cours de l'histoire peut-il être changé? Pourtant David et simon savaient. Ils ont été témoins privilégiés et ils détiennent l'indice qui peut empêcher la tragédie. Ils sont les seuls à pouvoir déjouer les plans de la Faucheuse. Suivez-les dans ce contre-la-montre où chaque minute qui passe est un sursis pour ceux survivront.
Quel moment magique! Le rythme est rapide, mais pas trop. Pierre H. Charron tisse adroitement sa toile, amenant le lecteur là où il le souhaite. Pas de détail inutile, tout ce qui est écrit sert le récit. Vraiment bravo.
Tous les personnages sont bien définis, tout est cohérent. J'arrivais parfaitement à imaginer les personnages dans ma tête tout en faisant la lecture de cette novella. Comme première publication, c'est un chef d'oeuvre.
Si je dois mettre un bémol, je dirais que j'en aurait pris plus. Mais c'est loin d'être un défaut.
vendredi 8 avril 2011
mercredi 6 avril 2011
La Nuit du Tueur
Très intéressant comme lecture. Je n'avais vu la plume de Jonathan que sous forme de courtes nouvelles dans Brin d'Éternité.
J'ai attaqué La Nuit du Tueur et je n'ai eu de repos qu'au moment où j'ai lu la dernière ligne.
Résumé du back-cover :
Cette journée sera étrange.
Dès qu'elle rejoint ses amis à l'école secondaire de Bromptonville, Samantha le sent. Que;que chose ne va pas. et ce n,est pas seulement l'examen de sciences physiques qui la rend nerveuse. Non, c'est pas ce qu'aujourd'hui, elle déterrera de terribles secrets sur lui.
Le tueur.
Et dès les premièrs révélations, plus personne autour de Samantha ne sera en sécurité. armé de sa pelle rouillée, il rôde, jamais loin de ses amis, jamais loin d'elle.
Vraiment, cette journée sera étrange.
Et la nuit qui suiva sera sanglante.
Il y avait un bail que je n'avais pas lu une histoire de terreur. J'ai lu beaucoup plus de fantasy dans les derniers mois. J'ai repris goût pour ce type de roman.
J'ai aimé l'histoire, mais j'en aurais pris plus! Oui, c'est beaucoup trop court. Habituellement, quand je trouve que c'est trop court c'est signe que le rythme est effréné que je n'ai pas eu le temps de prendre mon souffle. Et c'est le cas, l'histoire se déroule d'un trait.
J'aurais pris plus de détails. J'aurais aimé savoir comment cela se fait-il que les bribes d'histoire de la vengeance de Bob sont toujours sur des copies d'examen de sciences physiques alors que la dernière partie qu'elle trouve a été écrite avant d'aller à l'examen. Un détail, mais qui me tracasse. Il y a aussi comment le tueur s'y prend pour tuer un gars à Sherbrooke alors qu'il se trouve à Bromptonville sans moyen de transport apparent. Peut-être que je m'enfarge dans les fleurs du tapis...
Malgré tout, le roman m'a permis de passé un agréable moment dans cet univers merveilleux de Jonathan Reynolds.
J'ai attaqué La Nuit du Tueur et je n'ai eu de repos qu'au moment où j'ai lu la dernière ligne.
Résumé du back-cover :
Cette journée sera étrange.
Dès qu'elle rejoint ses amis à l'école secondaire de Bromptonville, Samantha le sent. Que;que chose ne va pas. et ce n,est pas seulement l'examen de sciences physiques qui la rend nerveuse. Non, c'est pas ce qu'aujourd'hui, elle déterrera de terribles secrets sur lui.
Le tueur.
Et dès les premièrs révélations, plus personne autour de Samantha ne sera en sécurité. armé de sa pelle rouillée, il rôde, jamais loin de ses amis, jamais loin d'elle.
Vraiment, cette journée sera étrange.
Et la nuit qui suiva sera sanglante.
Il y avait un bail que je n'avais pas lu une histoire de terreur. J'ai lu beaucoup plus de fantasy dans les derniers mois. J'ai repris goût pour ce type de roman.
J'ai aimé l'histoire, mais j'en aurais pris plus! Oui, c'est beaucoup trop court. Habituellement, quand je trouve que c'est trop court c'est signe que le rythme est effréné que je n'ai pas eu le temps de prendre mon souffle. Et c'est le cas, l'histoire se déroule d'un trait.
J'aurais pris plus de détails. J'aurais aimé savoir comment cela se fait-il que les bribes d'histoire de la vengeance de Bob sont toujours sur des copies d'examen de sciences physiques alors que la dernière partie qu'elle trouve a été écrite avant d'aller à l'examen. Un détail, mais qui me tracasse. Il y a aussi comment le tueur s'y prend pour tuer un gars à Sherbrooke alors qu'il se trouve à Bromptonville sans moyen de transport apparent. Peut-être que je m'enfarge dans les fleurs du tapis...
Malgré tout, le roman m'a permis de passé un agréable moment dans cet univers merveilleux de Jonathan Reynolds.
mardi 5 avril 2011
Des choix déchirants
sont parfois à faire. Je déteste avoir à déterminer ce que je veux lire en premier. Hé oui! Il y en a qui se questionne des heures sur la couleur de leur vernis à ongles, moi, c'est mes choix de lecture qui me chicotte.
Je suis le type de lectrice qui aime lire la suite des séries dès que ça sort. Or, aujourd'hui City of the Fallen Angels de Cassandra Clare vient de sortir. Avant le SLTR, j'avais commencé Mark of the Demon de Diana Rowland que j'ai repris, mais je suis pas encore à 100% dans l'histoire. J'ai aussi Impasse dans la tête. Déchirant, mes amis, déchirant comme choix.
Des fois, il faut avoir le sens des priorités.
Je suis le type de lectrice qui aime lire la suite des séries dès que ça sort. Or, aujourd'hui City of the Fallen Angels de Cassandra Clare vient de sortir. Avant le SLTR, j'avais commencé Mark of the Demon de Diana Rowland que j'ai repris, mais je suis pas encore à 100% dans l'histoire. J'ai aussi Impasse dans la tête. Déchirant, mes amis, déchirant comme choix.
Des fois, il faut avoir le sens des priorités.
lundi 4 avril 2011
Morphoses
Que dire de ce bouquin? J'ai tellement de choses à en dire que je ne sais pas par quoi commencer. D'abord, comme Mathieu disait si bien au SLTR :«Elle est une fan.» Hé oui! Je suis une fan.
J'aime beaucoup la plume de Mathieu. Elle est originale et rafraîchissante. Il joue avec les atmosphères et la sensualité comme peu d'auteur et manipule bien les narrateurs. J'ai passé au travers du recueil en très peu de temps, il se lit très bien. Les nouvelles sont bien rythmées, on ne peut s'empêcher de s'empresser à les lire. Malgré la fatigue et mes nuits épuisantes, je me disais toujours : «Encore une, juste une.»
Le livre commence avec plusieurs nouvelles successives ayant pour personnage principal une créature ailée. J'ignore si c'était voulu de les mettre toutes une à la suite de l'autre, mais rendu au 5e texte : j'ai eu peur. J'ai eu peur que tout le livre traite de ce type de créature. Pas que je n'aime pas, mais ce n'était pas mes attentes.
Naissance est une nouvelle intéressante. Un bon prélude au livre. C'est donc avec un intérêt grandissant que je me suis lancée dans la lecture de la nouvelle suivante.
Morphose traite avec audace d'un sujet plutôt tabou : l'inceste. Cette courte nouvelle défile à la vitesse de la lumière.
L'envol fût un pur délice. Cette nouvelle traite de l'alcoolisme et de ce qu'il peu détruire.
Renaissance bonne nouvelle, mais qui est beaucoup moins rythmée que les autres et moins stimulante. De tout le livre, c'est probablement celle que j'ai le moins appréciée.
La Mère... J'ai eu une impression de re-make. Un mélange de Morphose et d'autre chose.
La sixième nouvelle Cauchemar est arrivée comme une bouffée de fraîcheur. J'ai adorée cette nouvelle.
Le rituel est parmi mes nouvelles favorites du recueil. Je l'ai relu quelques fois. Elle réveille quelque chose en moi.
Les Tartes de l'automne est une bonne nouvelle qui est aussi un peu moins rythmée que les autres, mais qui arrivée tout de même a une chute intéressante.
Fin de tournée : bouleversante.
La rencontre : savoureux.
La danse de la mer est une histoire touchante avec encore une fois une chute déstabilisante quoi que prévisible.
La voiture fantôme est bien rythmée et bien montée avec des retours en arrière. C'est des textes comme celui-ci qui fait que j'aime tant l'écriture de Mathieu.
Le ballet des outardes une belle nouvelle remplie de tendresse et d'émotions.
Fragments est encore une fois une histoire bouleversante et mélangeant les narrateurs avec brio.
La Maison de Saëlle est probablement la nouvelle que j'ai le plus aimé du recueil. Elle est bien écrite avec une chute très intéressante. Mathieu laisse des indices sur la chute tout au long du texte sans m'avoir permis de deviner.
Les soleils impossibles est probablement le texte qui m'a le moins plu. L'idée est intéressante, mais il manque quelque chose. J'ignore quoi, mais j'ai l'impression qu'un élément manque quelque part.
Le luthier termine le recueil sur une touche fracassante. Vraiment, c'est un chef d'oeuvre cette nouvelle.
J'aime beaucoup la plume de Mathieu. Elle est originale et rafraîchissante. Il joue avec les atmosphères et la sensualité comme peu d'auteur et manipule bien les narrateurs. J'ai passé au travers du recueil en très peu de temps, il se lit très bien. Les nouvelles sont bien rythmées, on ne peut s'empêcher de s'empresser à les lire. Malgré la fatigue et mes nuits épuisantes, je me disais toujours : «Encore une, juste une.»
Le livre commence avec plusieurs nouvelles successives ayant pour personnage principal une créature ailée. J'ignore si c'était voulu de les mettre toutes une à la suite de l'autre, mais rendu au 5e texte : j'ai eu peur. J'ai eu peur que tout le livre traite de ce type de créature. Pas que je n'aime pas, mais ce n'était pas mes attentes.
Naissance est une nouvelle intéressante. Un bon prélude au livre. C'est donc avec un intérêt grandissant que je me suis lancée dans la lecture de la nouvelle suivante.
Morphose traite avec audace d'un sujet plutôt tabou : l'inceste. Cette courte nouvelle défile à la vitesse de la lumière.
L'envol fût un pur délice. Cette nouvelle traite de l'alcoolisme et de ce qu'il peu détruire.
Renaissance bonne nouvelle, mais qui est beaucoup moins rythmée que les autres et moins stimulante. De tout le livre, c'est probablement celle que j'ai le moins appréciée.
La Mère... J'ai eu une impression de re-make. Un mélange de Morphose et d'autre chose.
La sixième nouvelle Cauchemar est arrivée comme une bouffée de fraîcheur. J'ai adorée cette nouvelle.
Le rituel est parmi mes nouvelles favorites du recueil. Je l'ai relu quelques fois. Elle réveille quelque chose en moi.
Les Tartes de l'automne est une bonne nouvelle qui est aussi un peu moins rythmée que les autres, mais qui arrivée tout de même a une chute intéressante.
Fin de tournée : bouleversante.
La rencontre : savoureux.
La danse de la mer est une histoire touchante avec encore une fois une chute déstabilisante quoi que prévisible.
La voiture fantôme est bien rythmée et bien montée avec des retours en arrière. C'est des textes comme celui-ci qui fait que j'aime tant l'écriture de Mathieu.
Le ballet des outardes une belle nouvelle remplie de tendresse et d'émotions.
Fragments est encore une fois une histoire bouleversante et mélangeant les narrateurs avec brio.
La Maison de Saëlle est probablement la nouvelle que j'ai le plus aimé du recueil. Elle est bien écrite avec une chute très intéressante. Mathieu laisse des indices sur la chute tout au long du texte sans m'avoir permis de deviner.
Les soleils impossibles est probablement le texte qui m'a le moins plu. L'idée est intéressante, mais il manque quelque chose. J'ignore quoi, mais j'ai l'impression qu'un élément manque quelque part.
Le luthier termine le recueil sur une touche fracassante. Vraiment, c'est un chef d'oeuvre cette nouvelle.
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