samedi 23 avril 2011

La recette du bonheur!

Un café frais moulu, un petit déjeuner copieux (smoothies, crêpes, sirop d'érable, fruits frais...), un journal tout neuf, des enfants tranquilles devant les ti-bonhommes. Wow! Ça c'est une belle journée qui commence, même s'il pleut dehors.

Cet après-midi, les enfants auront leur premier gala de patinage. Je suis toute énervée! La caméra est chargée et je vais avoir aussi mon appareil photo. Maman est fière et les enfants sont fébriles.

Bonne journée à vous! =)

vendredi 22 avril 2011

Mark of the demon

Il y a un moment, ce livre, proposé par Amazon.ca selon mes habitudes d'achats, a attiré mon attention. L'hybride entre le polar et le urban fantasy me semblait intéressant. Surtout que plutôt que des vampires ou des loup-garous, l'élément fantasy est la présence de démons en ce monde. J'ai donc appuyer sur Add to cart.

L'auteure m'était totalement inconnue. Diana Rowland. Et pour cause, c'est sa première publication. Une petite visite sur son site web nous apprend qu'elle a roulé sa boule dans plusieurs métiers différents dont policier, assistant dans une morgue, barmaid,... Et cette expérience de vie, elle transparaît énormément dans sa plume. Par exemple dans les descriptions d'autopsie, dans les techniques d'enquête, dans les habitudes des policiers et le jargon technique.

Synopsis

Kara Gillian est détective en Louisianne. Elle vient d'être mutée à la section des Homicides. Pour se faire la main, elle demande à relire le cas Symbol Man. Il s'agit de cas de meurtres crapuleux où les victimes sont marqués d'un symbole. Ce symbole, il vient du monde insolite des demon summoner. Il s'agit d'un groupe d'initiés qui appellent des démons dans cette sphère à l'aide d'un rituel (qui n'a rien de satanique.)

Il s'adonne que Kara a une vie secrète, elle est une demon summoner. Elle a le don de seconde vue et lors du dernier meutre du Symbol Man, elle a remarqué des résidus d'un rituel, des runes, sur le corps. Depuis ce temps, elle est certaine que le meurtrier est un initié.

Les convergences entre les sphères sont à leur summum. Elle pourra enfin pratiquer le rituel lui permettant d'appeler un démon de 12e niveau et faire d'elle une demon summoner accomplie. Elle appelle son démon et tout va pour le mieux jusqu'à ce qu'un voleur décide de pénétrer dans sa maison. Le démon s'en chargera. Mais avant de quitter cette sphère, il avisera Kara qu'on a invoqué un démon, mais que le rituel implique que le sang soit versé.

Le policier qui viendra chercher le voleur au domicile de Kara l'avisera qu'un corps a été trouvé, un cas similaire aux autres corps du Symbol Man. Kara appellera son capitaine pour savoir si elle peut se présenter sur la scène du crime. Il lui accorde la permission. Non seulement, elle pourra approcher le corps, mais le cas lui sera assigné.

Pour avoir plus de détails sur ce que le démon de 12e niveau voulait dire, Kara décide de faire un autre rituel la nuit suivante et appelle un démon dont elle a l'habitude. Quelque chose ne tourne pas rond et c'est un démon nommé Rhyzkahl qui sort du portail. Cette chose est infiniment puissante et très en colère. Kara croit venue l'heure de sa mort. Mais plutôt que de la tuer, le démon à l'apparance est humaine, aux traits angéliques, décide de la séduire. Kara ne comprend rien et décide de consulter sa tante Tessa qui est aussi son mentor. Elle lui apprendra que Rhyzkahl est en fait un Lord et que c'est impossible qu'elle l'aie appellé.

Les meurtres sont perpétrés de façon plus rapprochés que lors de la première séquence, une escouade mixte sera formée et Kara devra apprendre à travailler avec Ryan du FBI, un spécialiste en cas surnaturels. Ensemble, ils mèneront l'enquête.

Rowland fait un travail de maître. Plus le roman avance, plus le rythme est effréné. On en veut plus et on a de la difficulté à mettre le livre de côté. Il faut 2 ou 3 chapitres avant de maîtriser les concepts et le contexte car au début, les détails sont nombreux. Cela explique que j'aie mis le livre de côté pour lire une partie des livres que je me suis procurer au SLTR. Cela explique aussi que j'aie mis le livre de côté une seconde fois quand City of Fallen Angels est sorti. Mais je ne regrette aucunement d'avoir repris le livre ensuite.

Pas le choix, il a fallu que j'attaque la suite : Blood of the Demon.

jeudi 21 avril 2011

MCR au Métropolis, 20 avril

Je l'attendais ce show. J'avais la paire de billets dans mon bas de Noël. C'est rare, mais j'avais fait la téteuse pour l'avoir, habituellement c'est Papa qui fait le choix des show. Si c'est lui qui aurait choisi, nous serions allés au Centre Bell hier pour voir Rush. Cette fois, il a fait une concession, juste pour moi.

Il était écrit dans les étoiles que nous aurions une soirée en amoureux. Congé aujourd'hui, une amie, la maman de la gardienne que nous avions réservée, m'appelle à 7h00 pour m'offrir de garder les enfants chez-elle pour que nous puissions nous reposer ce matin. Wow! Une offre à ne pas refuser.

Alors, c'est le coeur léger que nous avons pris la direction de la métropole.

Le spectacle

MCR et la Contamination Tour comptait 2 premières parties. Ce point m'a un peu déçue car, plus il y a de premières parties, moins on a du groupe vedette.

La toute première partie est un groupe nommé The Architects qui a joué environ 30 minutes. Même si le son n'était vraiment pas ajusté pour eux, ils ont offert une bonne prestation. Je ne connaissais bien entendu aucune des pièces, mais il semble qu'une partie de l'auditoire les connaissait car ils entonnaient les pièces avec eux. J'ai bien apprécié et je me promet dans les prochains jours de fouiner un peu plus sur le Net à leur sujet.

La seconde première partie était un groupe un peu plus connu des amateurs de rock progressif et punk : Anti-Flag. Ils se sont fait connaître entre autre lors de leur tournée l'été passé avec Billy Talent et leur passage au Festival d'été de Québec n'a pas été inaperçu. J'ai vraiment apprécié leur prestation. Étant au parterre, j'ai été un peu plus coincée pour cette partie du show. Ils y avaient des amateurs, et pour cause, une autobus nolisée organisée par la station CHOI était sur place. Je dois dire que ce sont des bêtes de scènes. Ils ont mis vie dans la place. L'un des guitaristes à littéralement démoli un drum à la fin d'une pièce. J'ai trouvé bien drôle que le drummer passe son temps à resserer ses peaux de drums après chaque pièce. D'ailleurs, pour finir leur partie, ils ont demandé aux gens de faire de la place au parterre et le drummer a démonté une partie du drum pour aller jouer au travers du monde. Ayoye!

Ceux que moi j'attendais, ont pris la scène d'assaut à 9h45. Je frétillais de plaisir. Ils ont commencé avec la pièce Na na na. J'étais certaine que ça commerais ainsi. Ils ont fait pas mal toutes les pièces auxquelles je m'attendais sauf une seule, Sing. Ils ont fait une bonne partie de l'album Danger Days (Planetary, The Only Hope is You, Summertime, Bullet Proof Heart)  ainsi que de The Black Parade (Teenager, The Black Parade, Cancer, I Don't Love You, House of Wolves, Mama). Ils ont bien entendu fait aussi les classiques tels que Helena.

Gerard Way, le chanteur, était vraiment en forme. Il était tel que je l'avais vu dans plusieurs extrait de show live sur Youtube sur le MCR Channel.

Les «à côté» n'étaient pas extraordinaire, pas de décors époustoufflants tels que dans les shows de Green Day ou Muse, quelque chose de bien simple, un rideau bleu miroitant à l'arrière et des lumières placées en V. Par contre, les effets d'éclairages étaient efficaces pour créer des effets dramatiques aux moments voulus.

Le seul «hic», c'est que le son était mal dosé, vraiment. Les instruments étaient trop forts et les micros des guitaristes et du pianiste pas assez, alors les moments où les «back vocals» sont importants n'étaient pas aussi agréables qu'ils auraient dû l'être.

Le summum de la prestation est à mon sens quand Gerard a chanté Cancer au début du rappel. J'en ai eu la chair de poule. Il faut le faire car on était tellement coïncés que j'étais collante comme si j'avais fait une heure de spinning.

dimanche 17 avril 2011

Raiponce

Dans mon jeune temps, ce conte se nommait Rapunzel. La princesse se trouvait dans une tour et elle avait les cheveux tressés. Disney a remodelé, encore une fois, l'histoire originale afin d'en faire un conte à leur sauce qui fonctionne si bien.

Synopsis

Dans cette nouvelle adaptation, les rôles sont inversés, Raiponce est une princesse. Elle est enlevée alors qu'elle est au berceau par une sorcière qui souhaite s'accaparer les pouvoirs magiques de la princesse. Elle la cache dans une tour danse laquelle elle l'empêche de sortir. Il n'y a qu'une fenêtre, et pour voyager vers l'extérieur, la sorcière lui demande : « Raiponce, descend-moi tes longs cheveux.»

Dans l'espoir de revoir leur princesse perdue, le roi et la reine envoie chaque an, à l'anniversaire de Raiponce, des lanternes dans les airs. Raiponce rêve de les voir de près, mais bien entendu, la socière refuse de l'y emmener.

Elle trouve sa chance, la veille de son anniversaire, lorsque Flynn Rider, un voleur, trouve une cachette dans la tour de Raiponce. Il a volé, avec deux complices, la couronne de la princesse perdue et était en fuite: les gardes du château à ses trousses.

Raiponce, armé d'une poêle à frire et de son courage, elle prendra une entente avec le voleur pour qu'il l'y amène. Bien entendu, ils tomberont amoureux et l'histoire se termine bien.



Comme dans tous les contes de Disney, Raiponce a un fidèle compagnon animal : Pascal, le caméléon. Il est bien mignon d'ailleurs.

Il a une personnalité très attachante et suit notre bien-aimée princesse partout. Il aurait bien pu ne pas être du film car son apport est minime. Il ne parle pas, il fait de petits sons mignons : un genre de couinement. Cependant, son visage est très expressif et il arbore toutes sortes de couleurs pour montrer ses sentiments.

Aussi, comme dans tous les autres contes de fée de Disney, il doit y avoir un animal très caractérisé avec un comportement quasi-humain. Dans le cas qui nous concerne, c'est Maximus : le cheval. Il est le cheval du commandant des gardes royaux. Il se prend pour un super héros. Il a horreur des voleurs et ne compte pas laisser Flynn Rider s'échapper. Il est prêt à tout pour y parvenir. Cependant, il ne peut résister aux requêtes de notre princesse.

Pour parvenir à apprécier ce film, il faut le prendre pour ce qu'il est : un bonbon à savourer. Les chansons sont agréables et les images sont splendides. Disney avait l'intention de frapper fort pour ce 50e film d'animation. Hé Oui! 50! Et je crois, personnellement, que c'est réussi. Vous allez ne dire que j'étais conquise d'avance? Je vous répond que non. J'avais des doutes. Je n'aime pas nécessairement tout ce qui sort de leur studio. Par exemple, je ne suis pas embarquée dans Lilo et Stitch, Chicken Little, Empereur Nouveau Genre, et quelques uns comme ça. Raiponce, c'est un beau bonbon.

Parmi mes scènes favorites, il y a la scène sur le lac avec les lanternes. La chanson est jolie et le travail dans les jeux de lumières, dans les lanternes, dans les mouvements de l'eau... bref, elle vaut la peine. Je vous laisse sur cette image d'ailleurs.