vendredi 25 février 2011

Refus constructif

J'ai hier reçu la réponse pour ma nouvelle Rêve Molly. Je fondais beaucoup d'espoir sur ce texte. Je le savais être un de mes meilleurs à ce jour. J'avais un feeling dans mes trippes quand j'ai appuyé sur la touche «Send».

Mes premiers refus m'avaient laissé perplexe. À la fin des commentaires, on aurait dit qu'il n'y avait rien de bon dans le texte. Je l'avais pris comme un conseil de travailler plus fort. C'est ce que j'avais fait avec Molly. J'adorais littéralement cette histoire. Je sais où j'ai gaffé et cette nuit, mes rêves m'ont guidé vers un moyen de retravailler mon texte. Je vais trouver un moyen de faire publier ce texte. Même si cela me prend 2-3 ans. Il me tient à coeur.

J'avais soumis ce texte à Solaris et Joël Champetier m'a fait des commentaires qui resteront gravés à jamais dans ma mémoire. J'ai aussi suivi son conseil et je me suis commandé le bouquin de Mme Vonarburg, Comment écrire des histoires, guide de l’explorateur.

Je me permet de citer ce petit passage du courriel reçu hier :
« Ce n'est pas un texte sans qualités. C'est bien écrit et la petite Molly est sympathique. C'est au niveau de la construction et de l'argument fantastique que le bât blesse : pour tout dire, cet argument est plutôt imprécis. Un bon texte est mémorable, il nous frappe par le développement implacable de ses arguments. Ici, j'ai lu le texte hier... et je ne me souviens plus trop ce qui se passe à la fin. La seule chose qui s'est inscrite dans ma mémoire est un sentiment d'insatisfaction!»
Certains membres de ma famille m'avait soulevé le point qu'ils auraient aimé en savoir plus par rapport à la fin. J'avais voulu une chute ouverte, il faut croire que je l'ai ratée. L'entendre de gens qui n'arrivent pas expliquer leur point de vue c'est une chose, l'entendre d'un écrivain reconnu c'est autre chose, surtout quand il nous dit où on gaffe. J'ai déjà une bon bout de réécriture de fait dans ma tête. Ma chute ne nous laissera pas sur notre faim cette fois-ci.

Je suis heureuse, on aurait pu se contenter de me dire non et ça aurait été correct. Là, j'ai un non et un pourquoi non, avec de conseils et des encouragement à continuer.

Je ne peux que dire un gros «Merci beaucoup M. Champetier!» J'apprécie beaucoup.


lundi 21 février 2011

Retour de l'inspiration

Wow! Je viens de finir le premier jet d'une nouvelle. Je suis épatée. Les mots fusaient sur mon écran, sortis tout droit de mon inspiration à mon clavier sans passer par mon cerveau je crois bien. J'avais l'impression de lire les mots quand ils apparaissaient à l'écran. J'écrivais, mais mes doigts étaient possédés et décidaient d'eux-mêmes sur quelles touches de mon clavier ils allaient peser.

J'ai été moi-même surprise de la chute de ma nouvelle. Une magnifique chute ouverte. Épatante. Époustoufflante. Non mais, je ne m'y attendais pas alors... est-ce que ça peut être plus chute que ça? Pourtant après relecture, ça fait du sens et ça ne vient pas de nulle part. Le texte se tient. Je donne des indices sans dévoiler où on s'en va. Laissant le mystère planer jusqu'aux derniers paragraphes.

Je l'ai envoyé à mes plus grands lecteurs et à eux de me diriger sur la réécriture.

J'ai hâte de la retravailler Il y a longtemps qu'une histoire de mon cru de m'a pas autant enthousiamée. Wouhou!!

dimanche 20 février 2011

Je me laisse une semaine

Je suis en plein «jonglage mental» avec mon moi-même. Je ne sais pas quoi faire. Le site d'Azaël ne me donne pas les fruits espérés en plus de me tirer beaucoup de jus. Il n'obtient pas beaucoup de visite, même si je lui fait la même publicité que celle de ce blogue. Je pense sérieusement à le «flusher».

Tout le temps que je met sur Azaël, et bien, c'est du temps que je n'ai pas pour mes nouvelles et pour mon blogue, pour lire et pour mes autres passe-temps.

Ça sent le R.I.P. http://azaellange.bloguespot.com/.

Je me laisse la semaine pour me décider.